Accueil | Contacts | L'Eau vive en PDF | Galeries de photos | Bottin | |
- Thursday 23 March 2023
Cette chronique, en collaboration avec La Cité universitaire francophone, offre des textes dont les auteurs ont en commun d’avoir choisi le français comme langue seconde.
Une cinquantaine de Fransaskois, dont deux classes de 8e année de l’école Monseigneur de Laval de Regina, ont assisté à la traditionnelle déclaration officielle des Rendez-vous de la Francophonie. Tenu au Palais législatif le 13 mars avec l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), l’événement a bénéficié de la présence de la ministre responsable des Affaires francophones, Laura Ross.
Rassemblé devant l’hôtel de ville de Regina le 7 mars, un groupe d’une soixante de personnes a assisté à plusieurs discours saluant la langue française et ses locuteurs. Comme le veut la tradition, le lever du drapeau fransaskois a ainsi marqué l’ouverture du Mois de la francophonie, célébré partout dans le monde en mars.
En contexte de gouvernement minoritaire, il n’est pas surprenant que les libéraux fédéraux rencontrent des défis pour faire adopter des projets de loi. Ce qui l’est plus, ce sont les coups qui proviennent de leur propre camp.
Présente depuis 1990 sous une appellation différente, aujourd’hui affiliée au ministère des Parcs, de la Culture et du Sport du gouvernement de la Saskatchewan, la Direction des affaires francophones (DAF) est un îlot en français au sein des autorités provinciales. Méconnu des Fransaskois, le département regroupe aujourd’hui sept employés et offre des services en français. Charles-Henri Warren, directeur général, explique son rôle.
FRANCOPRESSE – Au Canada, plus de 500 000 personnes vivraient sans statut migratoire, c’est-à-dire sans documentation, sans papiers, sans titre les autorisant à séjourner au pays. Étant donné la lettre de mandat du premier ministre Justin Trudeau au ministre de l’Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté, plusieurs voix s’élèvent pour demander que le statut de ces personnes soit régularisé. La Semaine nationale de l’immigration francophone actuellement en cours est un moment tout indiqué pour penser aux politiques qui créent une telle situation.
FRANCOPRESSE – Dès l’an prochain, le ministère de l’Immigration veut augmenter le seuil de résidents permanents à 465 000 personnes pour atteindre progressivement 500 000 en 2025. Ce sont les objectifs fixés dans le Plan des niveaux d’immigration 2023-2025, axé sur la répartition des immigrants entre les régions, publié le 1er novembre. Mais la cible de 4,4 % d’immigrants francophones hors Québec d’ici fin 2023 reste inchangée.
Mehdi Mehenni – IJL-Réseau.Presse La ministre des Langues officielles et ministre responsable de l’Agence de promotion économique du Canada atlantique, Ginette Petitpas Taylor, était en visite le 29 juillet à Regina dans la cadre des consultations pancanadiennes sur les langues officielles entamées en mai dernier. Une visite durant laquelle une annonce de 7,1 millions de dollars a été faite au profit de la Cité universitaire francophone de l’Université de Regina et du Collège Mathieu.
En évoquant le projet de Loi sur les langues officielles, toujours en cours d’adoption au Parlement, Ginette Petitpas Taylor souligne l’engagement du fédéral à s’assurer que, à l’échelle provinciale, les communautés de langues officielles en situation minoritaire « reçoivent les services et droits nécessaires pour continuer à vivre et à travailler dans leur langue maternelle ».
FRANCOPRESSE — C’est à Regina en Saskatchewan que s’est tenu le Conseil des ministres de la francophonie canadienne les 22 et 23 juin. Les ministres des provinces et territoires ont passé en revue les défis des francophones, notamment en situation minoritaire. En anglais, Laura Ross, ministre des Parcs de la Culture et des Sports de la Saskatchewan, qui détenait la coprésidence provinciale territoriale de cette édition, a affirmé que «les fonds doivent suivre les services en français».
La réélection d’Emmanuel Macron le 24 avril dernier a été accueillie avec soulagement par plusieurs, comme son élection en 2017. Si Marine Le Pen a dû s’incliner cette fois encore, la lutte a été plus serrée. À plus de 41 % des votes, contre 33,9 % en 2017, on peut dire que l’extrême droite française est en progression. Mais il n’y a pas qu’en France qu’elle se porte bien. Elle prend du galon partout. Y compris chez nous.
Depuis 2019, Todd Goudy, secrétaire législatif responsable des Affaires francophones de la Saskatchewan, ne manque pas les Rendez-vous de la Francophonie. Cette année encore, il aura pris part au traditionnel lever du drapeau fransaskois et a même souligné les 50 ans de l’Eau vive lors d’une allocution à l’Assemblée provinciale le 29 mars. Rencontre avec un allié de la fransaskoisie.
Parti fin mars pour la France, le Fransaskois Emmanuel Masson s’est joint aux équipes du candidat malheureux Jean-Luc Mélenchon qui briguait la présidence de la République française. Malgré la défaite au premier tour, les convictions du jeune homme restent inchangées, bien motivé à changer le monde.
Dominique Liboiron se remémore la crise politique qu'il avait vu de ses propres yeux au Burkina Faso en 1999.
Dominique Liboiron: 30 janvier 2022. Sud de l’Alberta. La Gendarmerie royale du Canada bloque mon chemin. J’arrête la voiture et je descends la fenêtre. Le policier me demande où je m’en vais…
Une cinquantaine de jeunes issus des quatre coins du pays se sont retrouvés de façon virtuelle pour la 11e édition du Parlement jeunesse pancanadien.
Erin O’Toole n’est plus chef du Parti conservateur à la suite d’un vote de confiance des députés de son parti le 2 février en avant-midi.