La publication « Business Inside » présentait, en décembre 2011, la réussite du système scolaire finlandais en précisant les variables responsables de son succès. L’article du journal L’actualité du 10 avril 2014 proposait également des caractéristiques de ce premier de classe dans le domaine mondial de l’éducation ainsi que les cinq autres premiers pays champions en lecture : 1er : Shanghai, 2e : Hong Kong, 3e : Singapour, 4e : Japon, 5e : Corée du Sud, 6e : Finlande (ce pays était au premier rang en 2000, 2003 à 2006, en 2009 et en 2012).
Le Canada demeure dans le club sélect des 13 premiers. De cet univers compétitif canadien, l’Ontario, le Québec, la Colombie-Britannique et l’Alberta se démarquent. Plusieurs pays occidentaux et certaines provinces canadiennes cachent leur visage lorsqu’il est question des résultats du test PISA, qui a ancré une mondialisation et une régionalisation élitistes des systèmes de l’éducation en comparant les résultats des apprenants en littératie, en numératie et en sciences.
Au Canada, le constat des inégalités nationales est inacceptable, surtout pour des provinces qui se retrouvent en queue de peloton du classement canadien depuis plusieurs années.
Quel est le problème? Ils n’ont plus le choix, il faut attraper le taureau par les cornes et c’est urgent, « I guess », dit-on en franglais.
Le test n’est pas parfait, coûte une fortune, ne mesure pas tout, mais dit la vérité sur ce qui est mesuré. C’est un bon départ vers une uniformisation des pratiques mondiales et nationales que plaide une Gauche qui sort des cendres dans le monde (Ernie aux É.-U., Jack au Canada).
Ce classement, réalisé par l’OCDE à l’aide du PISA (Programme international du suivi des acquis des élèves) et qui a lieu tous les trois ans depuis les années 2000, indique un succès persistant de la Finlande aux différents tests. Un succès qui fléchit toutefois depuis 2012.
Qu’en est-il réellement?
Pourquoi cette dégringolade du premier de classe qu’était la Finlande ? On sait déjà que les élèves finlandais ne subissent aucune évaluation durant les six premières années d’école.
Cet article vous propose ce que l’on peut importer de ce système scolaire du pays de Nokia, dans le nord de l’Europe, qui a aboli l’école privée en 1970.
Quelles sont, en réalité, les variables qui ont, pendant plus d’une décennie, fait de ce système scolaire finlandais le surdoué dans ce domaine avant que la Corée du Sud, les pays asiatiques et Singapour le rattrapent ?
Il était prétentieux, en 2003, disaient plusieurs pays, de comparer son système de l’éducation avec celui de la Finlande. Si d’autres pays rejoignent ce premier de classe au sommet, de nos jours, on en déduit qu’avec des réformes, ces résultats remarquables seraient possibles partout dans le monde.
En Saskatchewan, plus précisément à Saskatoon, dans un projet réalisé en 2014-2015, l’École Canadienne-française (ECF) a démontré, par un programme innovateur et ambitieux en littératie au niveau primaire, qu’à l’intérieur d’une année scolaire seulement, les résultats en lecture de toute une école peuvent considérablement s’améliorer chez tous les élèves en utilisant des recettes gagnantes qui impliquent toute la communauté scolaire.
C’était une pratique exemplaire, un vrai projet d’école, bien géré par la direction, madame Heather Durant, les trois enseignantes en adaptation scolaire, Ammie Géneviève, Myriam Longchamps, Marie-Jacquard Handy et tous les enseignants de l’école, incluant les spécialistes (musique et d’éducation physique), les parents et les employés du service de nettoyage.
Dès le début de l’année de cette initiative, tous les élèves avaient été évalués en lecture et chacun, avec ses parents et son enseignant, avaient été informés des résultats et de la cible à atteindre en fin d’année. Le plan d’amélioration concocté par l’équipe scolaire et validé par la Conseillère pédagogique du CEF (Conseil des écoles fransaskoises) avait été mis en œuvre. Les évaluations formatives se poursuivaient tout au long de l’année. La direction adjointe avec l’équipe du préscolaire et la conseillère pédagogique, avaient aussi réalisé un outil audiovisuelle en conscience phonologique pour commencer très tôt.
Les actions pour motiver les équipes étaient extraordinaires et les succès étaient célébrés au gymnase avec les élèves et les parents. Tout le monde était impliqué dans les formations offertes, même les parents qui devaient s’engager à consolider les habiletés et les potentialités de leur(s) enfant(s) en lecture à la maison. Sous une nappe transparente de la table à dîner du salon des enseignants, étaient étalées, les photos des activités de célébration du succès de l’initiative. À l’entrée de l’école. Le seuil de réussite global dans l’initiative était affiché dans le hall d’entrée tout au long de l’année.
L’achat de nouveaux livres devenu nécessaire, les parents ont dû gratter leurs fonds de tiroirs et faire appel à leur association pour les acheter. Les livres qui étaient à la bibliothèque avaient été renouvelés. À la fin de la première année, une équipe de l’école avait présenté les résultats remarquables de cette initiative à la rencontre nationale des écoles en milieu rural du Canada, qui avait lieu à Saskatoon ainsi qu’à la rencontre des parents de l’école.
Voici une initiative locale dont on peut être fier, si elle se poursuit, et pour laquelle on doit procéder aux mises à jour des connaissances et stratégies.
Cette expérience à l’ECF primaire s’est poursuivie dans une autre école du CEF. Le directeur de l’école, Miles Muri, a implanté un changement similaire au sein de son école et présenté les résultats à la conférence nationale du GREF (Grand rassemblement de l’éducation en français) de l’Association des conseils scolaires de la francophonie canadienne, le jeudi 5 mai 2016 à Moncton, au Nouveau-Brunswick.
Examinons maintenant ce que l’on peut importer de la Finlande pour entamer, valider, poursuivre ou enrichir une réforme de n’importe quel système de l’éducation dans le monde.
Les caractéristiques de la Finlande et de son système scolaire :
o pays situé sur le toit de l’Europe avec plus de 5 millions d’habitants ;
o a une immense forêt et un hiver rigoureux ;
o la température peut baisser jusqu’à -40 degrés celsius l’hiver et monter jusqu’à +30 celcius l’été ;
o son taux d’immigration est faible et se situe autour de 4.6% ;
o on observe une homogénéité de la population ;
o la Finlande, les États-Unis et le Canada allouent le même pourcentage de leurs dépenses publiques, soit 12-13% du budget, en éducation ;
o la décentralisation est une marque de commerce dans le pays. Chaque municipalité décide de la gestion de son budget scolaire localement ;
o le curriculum est imposé par le ministère de l’Éducation, mais les enseignants sont libres de choisir les méthodes d’enseignement et d’apprentissage. Ils peuvent alors faire usage d’approches congruentes adaptées aux besoins des élèves afin d’accroître leur taux de réussite. Le contrôle qui inhibe la créativité dans la profession enseignante est absent de ce système ;
o le système met l’accent sur la prévention.
Caractéristiques de l’école :
o l’enfant commence à fréquenter l’école à 7 ans ;
o les écoles privées ont été abolies en 1970 ;
o après chaque 45 minutes de cours, les élèves vont jouer dehors, pour un total de 75 minutes de récréation par jour ;
o l’école commence à 8 h et se termine à 14 h ;
o après le repas du midi, les élèves vont de nouveau jouer dehors avant de suivre les deux dernières périodes de 45 minutes en après-midi ;
o les parents viennent chercher les enfants vers 14 h ;
o ceux qui travaillent les prennent à 16 h ou 17 h ;
o ces heures après l’école permettent à plusieurs de participer aux activités sportives ou artistiques payées par les centres communautaires, l’école ou l’État ;
o les enfants ont de petits devoirs seulement (non, ce pays n’a pas supprimé les devoirs) ;
o les enfants mangent à la cafétéria et le menu est toujours santé et équilibré ;
o il n’y a pas d’évaluation les 6 premières années, le seul test standardisé est administré aux élèves de 16 ans ;
o le système scolaire a trois niveaux : général, intensif et spécial.
La formation des enseignants :
o les enseignants ont une maîtrise en éducation, une formation totalement payée par l’État ;
o les enseignants sont sélectionnés parmi les dix meilleurs de leur groupe pour suivre ce cours de formation des maîtres (il y a eu 660 candidats sélectionnés parmi 6600 postulants, en 2010) ;
o le salaire des enseignants est comparable à celui des avocats et médecins, ce qui rend cette profession attrayante ;
o les enseignants passent uniquement 4 heures par jour en classe et ont deux heures de formation continue par semaine ;
o l’enseignant a un statut social comparable à celui des ingénieurs, des médecins et des dentistes;
o ce sont des premiers de classe qui deviennent des enseignants dans ce pays.
L’enseignement :
- le curriculum, est imposé par le ministère de l’Éducation, mais les enseignants sont libres de choisir les méthodes d’enseignement et d’apprentissage. Ils peuvent alors faire usage d’approches congruentes adaptées aux besoins des élèves afin d’accroître leur taux de réussite. Le contrôle qui inhibe la créativité dans la profession enseignante est absent de ce système ;
- l’enseignant priorise le bien-être de l’apprenant ;
- la prévention est le secret de la réussite de ce système. L’élève est tout de suite pris en charge dès que ses résultats baissent. Un enseignant l’accompagne pour le remettre à niveau une ou deux fois par jour ;
- le parent est convoqué dès que les résultats de son enfant baissent et, au besoin, un spécialiste est impliqué. Dans ce contexte, tous les enfants peuvent, à tout moment de leur parcours, avoir besoin de services de rattrapage qui sont conséquemment perçus positivement.
- les nouveaux arrivants qui ne parlent pas la langue reçoivent un service finnois pendant deux ou trois mois avant de cheminer dans les classes régulières .
- selon Pasi Sahlberg, le système scolaire priorise la décentralisation, mais le ministère insiste quelquefois sur l’usage des approches ou des stratégies qui ont fait leurs preuves ;
- durant les premières années d’école, environ un tiers de la clientèle reçoit des services de rattrapage ;
- il y a des devoirs, mais ils sont minimes.
L’évaluation :
o durant les 6 premières années scolaires, les élèves ne sont pas évalués, mais la pratique de l’évaluation formative règne ;
o le pays a un seul test standardisé, que l’on administre uniquement aux élèves de 16 ans.
La composition de la classe :
o L’enseignant supervise 20 élèves et a un assistant qualifié en enseignement qui se promène d’un pupitre à l’autre pour faire de l’enseignement guidé ;
o L’inclusion totale de tous les élèves avec ou sans handicap ou problème d’apprentissage est une spécificité de cette culture. Toutefois, certains sortent pour recevoir des services ;
o On ne sait rien du sort des élèves doués ou talentueux ni même des contenus des cours qui leur sont destinés.
La réussite scolaire :
La Finlande :
o a le plus haut pourcentage d’élèves qui font des études supérieures en Europe (66%) ;
o est arrivée en première position mondiale dans le test PISA de l’OCDE pendant plus de dix ans, alors qu’au Canada, la Colombie-Britannique, l’Alberta, le Québec et l’Ontario sont les chefs de file dans ce test. Il faut préciser que le Canada globalement et chacune de ses provinces font des progrès depuis 2003.
o a un des écarts les plus minimes en ce qui a trait à la performance des élèves forts et des élèves faibles ;
o a un taux de réussite à l’école secondaire très élevé, qui se situe à 93%.
Pasi Sahlberg, l’un des chefs d’orchestres de cette réussite finlandaise, a rendu visite aux Albertains et aux Saskatchewanais, deux provinces canadiennes, pour partager les variables importantes qui ont contribué à leur réussite.
La dynamique mondiale :
· Dernièrement, la Corée du Sud, les pays asiatiques et Singapour ont fait fléchir la douance finlandaise en éducation en déclassant ce pays de Nokia. Il fallait s’y attendre, car les pays du soleil levant, en matière de compétition, sont des champions.
Pourquoi la Finlande bat-elle de l’aile au sommet ?
La dynamique de l’économie de ce pays du nord de l’Europe et sa réussite aux tests PISA depuis l’an 2000 ont contribué à le hisser au sommet pour devenir, en une décennie, l’un des meilleurs systèmes éducatifs mondiaux. D’autres facteurs, cités ci-haut, y ont également contribué :
o la décentralisation de la gestion scolaire dans les municipalités et l’abolition des écoles privées ;
o la valorisation de la profession enseignante, en la plaçant notamment au même niveau que les médecins, les ingénieurs, etc.
o la formation gratuite du personnel enseignant ;
o les repas gratuits pour tous les jeunes ;
o un curriculum commun avec une liberté de choix des stratégies tout en insistant sur l’usage des stratégies gagnantes ;
o une garderie après l’école avec des activités sportives et artistiques gratuites ;
o des résultats supérieurs au test PISA, mais qui commencent à fléchir…
Ce sont autant de stratégies gagnantes que d’autres systèmes ont certainement importées. La copie est-elle la seule raison du déclin de l’Empire éducatif finlandais ?
Non, semble-t-il !
Nous allons maintenant explorer la raison pour laquelle la Finlande bat de l’aile en éducation.
La Finlande, jadis championne dans le domaine économique, finançant rondement son système éducatif, représentait un modèle de rêve pour le reste du monde.
En 2015, les critiques nourries par la chute de la Finlande dans les tests PISA se sont fait entendre et présentaient les distorsions de ce système.
En 2000, 2003 et 2006, la Finlande avait la médaille d’or en ce qui a trait aux résultats du test PISA. En 2012, elle occupa le 12e rang en mathématiques, en lecture et en sciences. Les résultats du PISA de 2015 seront disponibles cette année, en 2016. Nous serons là pour vous informer.
Qu’est-ce qui se passe en éducation dans ce pays du toit de l’Europe ?
Donald Clark, sur son blogue « Pourquoi le modèle finlandais est fini », propose une critique virulente. Son propos est repris et traduit librement par Edupronet (2e référence).
Il fait le constat principal de l’omniprésence des critères du test PISA dans l’évaluation des compétences des élèves finlandais ainsi que dans le curriculum du pays : on enseigne pour le test PISA et les évaluations sont une copie du test.
Pour cet auteur, voici un autre paramètre qui avantage et désavantage la Finlande : le fait d’être un petit pays homogène qui parle une langue avec une économie qui fonctionne est une formule gagnante, mais facilement importée par des pays similaires comme Hong Kong, Taipei, la Corée, Macao, Liechtenstein, Singapour, qui font partie des six premiers, de nos jours.
Maarit Korhonen, une enseignante finlandaise avec 30 ans d’expérience dans le système, dont les propos sont relatés par Donald Clark, présente d’autres critiques du système dans son livre intitulé « Réveillez l’école! » que voici :
Le système finlandais, selon elle :
o est démodé et replié sur lui-même ;
o est esclave du test PISA de l’OCDE et s’assure uniquement de répondre aux normes du test en marginalisant un nombre trop élevé d’apprenants ;
o n’est pas performant dans d’autres tests internationaux comme TIMMS, auquel ses résultats sont médiocres ;
o offre à deux enfants sur trois une éducation formatée et trop académique ;
o fait travailler ses enseignants sur un programme dépassé en utilisant des manuels obsolètes ;
o incite ses enseignants à développer un modèle unique d’apprentissage pour tous les enfants ;
o offre des filières de formation professionnelle pas assez soutenue et celles-ci ne constituent pas une voie alternative équitable.
Les constats de cette enseignante ont été relatés par Donald Clark. Selon ce dernier, on observe, par ailleurs, dans le classement PISA, qui mesure depuis un certain temps des éléments du mieux-être à l’école, que les enfants finlandais ne sont pas heureux à l’école, en considérant le classement du pays. Pourtant, le bien-être semble être priorisé par le système avec l’activité aux 45 minutes et le repas gratuit.
De plus, en 1993-1994 un rapport de l’UNICEF indique un taux de suicide élevé dans ce pays chez les 15-24 ans : Finlande (33% hommes et 3.2% femmes), Canada (24.6% hommes et 6% femmes), France (14,0% hommes et 4,3% femmes), Grèce (3,8% hommes et 0,8% femmes). À l’autre extrême, il y a la Lituanie (44,9 hommes, 6,7 femmes).
La piètre performance économique de la Finlande, de nos jours, est aussi une autre raison qui a causé le déclin apparent de son système éducatif, dont les dépenses énormes augmentent la dette du pays. La chute de Nokia mis à mort par l’iPhone et le déclin généralisé de l’Empire économique finlandais sonnent peu à peu le glas de son système économique et éducatif.
Déjà, une réforme s’impose, car les résultats du dernier PISA (2012) font état du déclin. Pour Pasi Sahlberg, l’un des argentiers du système, il faut regarder ce phénomène d’une manière objective et procéder à des réformes congruentes aux besoins identifiés, même si le pays continue à faire usage des résultats du PISA, en 2015, dans son plan d’amélioration.
Depuis 2010, la Finlande a élaboré une réforme qui semble permanente tout en ciblant 2020 pour des résultats. Timo Lankinen, directeur général du Conseil national de l’éducation finlandais, présentait ses axes de développement (première référence) dans plusieurs conférences. Il est question de la construction des compétences citoyennes dans les programmes de base et l’auteur insiste sur les axes suivants :
1. clarifier et améliorer la mission et l’intégrité de l’école ;
2. garantir un niveau élevé de connaissances et de compétences ;
3. renforcer le soutien et l’orientation de l’individu ;
4. clarifier les principes de l’enseignement de base.
Il y a, dans le système scolaire finlandais et dans sa réforme, et ce, malgré sa dégringolade, des stratégies exemplaires pour plusieurs dans le monde qui envisagent de s’occuper de leur jeunesse en lui permettant de se doter des compétences citoyennes essentielles pour son avenir.
Depuis peu, le Canada, par l’entremise de son Conseil des ministres de l’éducation (CMEC), fait ses propres tests et le classement provincial diffère très peu du test PISA. Il y a des initiatives de construction de matériel d’enseignement pancanadien qui tardent à prendre leur envol.
« La réforme permanente en éducation, c’est maintenant ! », devrait dire un slogan.
Qu’advient-t-il, pour le reste du monde, surtout pour plusieurs pays émergents qui ne figurent pas encore dans cette initiative internationale ?
Des critiques portant sur ces outils standardisés se font entendre davantage et des tests nationaux et internationaux se multiplient en diversifiant ce qu’ils évaluent.
Pour conclure, en 2012 l’évaluation du test PISA portait sur les mathématiques, la compréhension de l’écrit et les sciences. Dans le classement : Shanghai (Chine) était le numéro 1, suivi de Singapour et Hong-Kong (Chine). Le Canada occupait le 13e rang, précédé par la Finlande, au 12e rang. Le Pérou était le dernier pays, précédé par l’Indonésie.
Pourtant, dans le classement du nombre d’élèves qui se sentent heureux à l’école au même test PISA, l’Indonésie est le champion et occupe le 1er rang, l’Albanie, le 2e rang, et le Pérou, le 3e.
Finalement, cette donnée, nécessite une profonde réflexion.
Références :
1. (1) http://www.edu.gov.on.ca/adele/finlandFr.pdf
2. (2) http://edupronet.com/systeme-educatif-finlandais-fini/
3. (3) http://www.unicef.org/french/pon96/insuicid.htm
4. (3) https://www.oecd.org/pisa/keyfindings/pisa-2012-results-overview-FR.pdf
(4) http://cmec.ca/Publications/Lists/Publications/Attachments/318/PISA2012_CanadianReport_fr_Web.pdf