FRANCOPRESSE – Souvent, quand j’anime des ateliers portant sur la lutte antiraciste, on me demande «mais où est ma place, en tant qu’allié.e?». Alors que je prépare ma réponse, je vois et ressens le désespoir de ceux et celles qui ne veulent que bien faire, mais qui cherchent une réponse courte et simple.