Horizons

Chronique littéraire publiée dans l'Eau vive

Le compostage pour sauver la planète

Verno Katshite Nyembo- IJL-Réseau.Presse 0 1804 Note de l'article: Pas de note

L’Association communautaire fransaskoise de Regina (ACFR) et le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) ont offert un atelier sur le compostage domestique L’Association communautaire fransaskoise de Regina (ACFR) et le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) ont offert un atelier sur le compostage domestique.

Climat : crise et catastrophe

Jérôme Melançon, chroniqueur – Francopresse 0 4221 Note de l'article: Pas de note

CHRONIQUE – Il est déjà trop tard pour éviter les premières transformations climatiques irréversibles. La cible d’un réchauffement limité à 1,5 °C ne sera sans doute pas atteinte, mais nous avons encore la possibilité d’éviter le pire et d’atténuer les effets catastrophiques du changement climatique sur plusieurs populations.

Entendre l’écho du passé

Dominique Liboiron 0 8753 Note de l'article: Pas de note

Notre série sur le tourisme se termine par la découverte d’un endroit peu connu, mais qui renferme un bon nombre de mystères : le site historique Doug Richards. Je n’ai pas l’ombre d’un doute que les amateurs d’histoire, d’archéologie et d’artéfacts autochtones sauront apprécier sa visite.  

Des drones et satellites pour mieux protéger les ressources en eau

Marie-Lou Bernatchez – IJL-Réseau.Presse 0 3465 Note de l'article: Pas de note

Le 24 avril, l'Association francophone pour le savoir (ACFAS-Saskatchewan) a accueilli Mélanie Trudel, professeure au département de génie civil et génie du bâtiment de l’Université de Sherbrooke au Québec pour la dernière présentation des célébrations du 100e anniversaire de l'ACFAS nationale. L’événement en ligne avait pour thème Les changements climatiques et leur impact sur la ressource en eau et a rassemblé une dizaine de personnes.

Redonner leur place aux plantes indigènes

Marie-Lou Bernatchez 0 3898 Note de l'article: Pas de note

La Saskatchewan compte plus de 600 plantes indigènes. Préexistantes à la colonisation européenne, ces dernières sont essentielles à la pollinisation et à l’équilibre des écosystèmes locaux. Alors que beaucoup des plantes vendues en commerce sont exotiques, un mouvement associatif veut faire (re)pousser les jardins indigènes.

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