En 2020, au tout début de la pandémie, une expérience exceptionnelle de travail au service du Bureau du Coroner de Saskatoon a placé Jean-Marie Michaud au premier rang des multiples facettes de la réalité de la mort.
En 2016, un premier jet de cent vingt pages de cette pièce de théâtre voyait le jour grâce à une bourse en écriture dramatique du Conseil culturel fransaskois. Le temps a fait son œuvre et l’auteur nous présente ici une toute nouvelle première scène, rédigée au printemps dernier lors de la mini-retraite du Cercle des écrivaines et des écrivains de la Troupe du Jour. La réécriture se poursuit avec l’introduction du personnage de Sophie.
Cette « lettre » est née d’un exercice de création littéraire proposé par l’auteur David Baudemont lors d’une rencontre du Cercle des écrivains de la Troupe du jour. Parmi un éventail de petites boîtes disparates, il suffisait d’en choisir une et d’en imaginer le contenu...
C’est un voyage à rebours, à travers les époques et les souvenirs.