Vers 2013, les remèdes que l'auteure prend depuis 30 ans pour son Parkinson commencent à provoquer des hallucinations. Un peuple de curieux étrangers vient alors partager sa demeure, jour et nuit. Ils sont désarmants de candeur enfantine et très envahissants ! Pour limiter leurs allées et venues incessantes, elle se met à leur écrire, puis à les peindre.