J’avais le goût depuis des années de me lancer dans une aventure agricole : la moisson des betteraves à sucre. Pour ce faire, direction le sud de l’Alberta.
Grâce aux avancées en technologie, des milliers de handicapés visuels et d’analphabètes ont aujourd’hui accès aux journaux, magazines, livres...
Poursuivons notre exploration des anglicismes intégraux… Une chasse incessante qui révèle la manière dont ils se sont infiltrés dans notre langage de tous les jours.
En politique, le double standard vestimentaire est aussi tenace qu’une tache de café sur un tailleur blanc.
Les prochaines semaines et les prochains mois vont être marqués par des élections un peu partout en Saskatchewan, au Canada et aussi à l’international.
En 2020, au tout début de la pandémie, une expérience exceptionnelle de travail au service du Bureau du Coroner de Saskatoon a placé Jean-Marie Michaud au premier rang des multiples facettes de la réalité de la mort.
Après avoir présenté de façon aussi sérieuse que drôle, les idiomes anglais, français et québécois, j’oriente maintenant mon attention vers : les anglicismes.
Depuis des années, j’avais le goût de visiter le studio du peintre Dean Francis situé sur une terre située à 25 minutes au nord-ouest de Leader en Saskatchewan.
« Qu’est-ce qu’un Fransaskois ? » Telle était la question posée dans un numéro de l’Eau vive en septembre 1979.
Un article publié dans l’Eau vive en 1983 nous rappelle que la lutte pour l’éducation francophone reste un dossier prioritaire pour les Fransaskois.
Si la fête du Travail est devenue synonyme d’une longue fin de semaine qui marque la fin des vacances, elle provient de plusieurs années de conflits ouvriers musclés.
Il y a 23 ans, l’alimentation des Canadiens manquait déjà de fruits et légumes. Un sondage mené en 2019 révèle que la situation a peu changé en deux décennies.
Ma dernière chronique portait sur les cartes postales. Je vous invitais alors à m’en envoyer au cours de l’été. Je tiens à remercier tous ceux qui m’ont en envoyé une !
Lançons-nous encore une fois et poursuivons notre aventure idiomatique québécoise !
Un article de juillet 1992 publié dans L’Eau vive tirait la sonnette d’alarme quant au risque pour un Canadien sur trois de tomber dans la pauvreté.
On ne m’accusera jamais d’être un mordu de technologie moderne. Je n’ai pas de téléphone intelligent, mon camion date de 1995 et j’envoie encore des cartes postales.
Depuis le 18 juin, la plateforme Too Good To Go lance l'initiative « Observez, sentez, goûtez » afin de lutter contre le gaspillage alimentaire en Saskatchewan.
Les Franco-Canadiens ont fait preuve de la plus grande des imaginations au fil des siècles pour exprimer tout un éventail d’actions.
Dans un train qui nous mène de Marseille à Paris, Tintin sur la tablette, je m’imagine être mon héros à Chicago, laque dans ma houppette.
Avant de vous brosser tout un triptyque d’expressions québécoises pittoresques après la pause estivale, je veux explorer un phénomène linguistique propre aux Québécois.