Accueil | Contacts | L'Eau vive en PDF | Galeries de photos | Bottin | |
- lundi 23 mai 2022
Réflexion sur la situation de la francophonie en Saskatchewan au terme du Plan de développement gloabal 2010-2020.
Dans le bilan annuel de Reporter sans frontières (RSF), l’année 2018 a été particulièrement meurtrière avec 80 journalistes tués dans l’exercice de leurs fonctions (+8 %). Que ce soient à l’échelle internationale ou au sein de nos plus petites communautés, le rôle de la presse est crucial pour que nos institutions et structures sociales améliorent leurs pratiques et demeurent transparentes envers la population.
Suite à l’annonce de la démission de Brad Wall, l’heure est au bilan. Que peut-on retenir de ses dix ans à la tête du gouvernement saskatchewannais?
Jamais je n’ai vu une démocratie communautaire autant bafouée qu’à l’assemblée des membres de l’ACF le 24 juin dernier.
L’élection d’un employé cadre du Conseil des écoles fransaskoise à la présidence de l’Association des parents fransaskois (APF) (CÉF) en fait sourciller plus d’un dans la communauté.
Pour assurer la vitalité de notre presse communautaire, ne pourrait-on pas adopter une politique semblable à celle mise en place pour stimuler le secteur artistique? Si les associations consacraient un petit 1% de leur budget à la promotion de leurs activités dans nos pages et sur notre site, la presse fransaskoise serait en bien meilleure santé.
Le créateur du site, Daniel Paquet, n’a pas été tendre avec la Coopérative des publications fransaskoises (CPF) en affirmant que nous voulions substituer notre Portail fransaskois à son site.
L’Inter-intra, vous connaissez? Si vous répondez par l’affirmative, il y a de fortes chances que vous travaillez dans le réseau associatif fransaskois.
Ce numéro de L’Eau vive qui se retrouve entre vos mains ou sur votre écran d’ordinateur représente une étape importante dans la relance du journal
Le Plan de développement global, cinq ans après. Les chiffres n’ont pas de quoi déprimer finalement. Même si une partie de la communauté a poussé un ouf de soulagement au sortir de la décennie Harper, les statistiques dévoilées par le PDG ce week-end peuvent rendre optimiste.
C’est la dernière. Le clap de fin. Le baisser de rideau. Le 29 octobre a vu la publication de l’ultime version imprimée de l’Eau vive en 2015. La chose a été dite et répétée, votre journal, comme beaucoup d’autres à travers le Canada, souffre de la crise du papier, souffre de la chute dramatique des revenus publicitaires. Dernière victime en date : le quotidien Le Devoir qui vient de lancer une campagne de financement sur les réseaux sociaux.
Justin Trudeau représente peut-être de meilleurs lendemains pour les francophones. L’Eau vive pourrait s’associer à cette excitation. Mais votre journal ne le fera pas. Car le mal est déjà fait.