«Laissez-passer Un Canada fort» : quel impact sur le tourisme francophone? «Laissez-passer Un Canada fort» : quel impact sur le tourisme francophone? 8 août 2025 1383 Rabais VIA Rail, parcs gratuits, musées accessibles…: le «Laissez-passer Un Canada fort», lancé par Ottawa fin juin, vise à stimuler le tourisme intérieur.
Entrepreneuriat des jeunes : «le bilinguisme est un atout incontestable» Entrepreneuriat des jeunes : «le bilinguisme est un atout incontestable» 17 juillet 2025 3975 Les jeunes entrepreneurs contribuent à la vitalité du français et de l’économie des communautés francophones en situation minoritaire.
Un programme pour stimuler l'entrepreneuriat francophone Un programme pour stimuler l'entrepreneuriat francophone La Fédération francophone de Saskatoon (FFS) et le Women's Business Hub (WBH) ont lancé une série d’ateliers intitulés Franco-preneur. 16 juin 2025 5494
L’intelligence artificielle au service des entreprises francophones L’intelligence artificielle au service des entreprises francophones Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) a tenu le 7 mai à Saskatoon un forum sur l’intelligence. 9 mai 2025 8545
Face à la guerre commerciale, la Saskatchewan retient son souffle Face à la guerre commerciale, la Saskatchewan retient son souffle Si Donald Trump met ses menaces à exécution et impose des tarifs douaniers sur les produits canadiens, les conséquences pourraient être... 17 mars 2025 7624
L’économie franco-canadienne doit se tourner vers l’est et l’ouest L’économie franco-canadienne doit se tourner vers l’est et l’ouest Les entreprises francophones ne seront pas épargnées par les possibles tarifs douaniers que veut imposer le président des États-Unis. 29 janvier 2025 8197
Économie : un déficit de 62 milliards et silence sur les langues... Économie : un déficit de 62 milliards et silence sur les langues... Un déficit de 62 milliards de dollars pour 2023-2024, au lieu des 40 milliards prévus, met le gouvernement libéral dans une situation... 17 décembre 2024 10984
Un quatrième économusée inauguré en Saskatchewan Un quatrième économusée inauguré en Saskatchewan Le 7 juin, l’hydromellerie artisanale Prairie Bee, la première en son genre dans la province, a été désignée économusée. 3 juillet 2024 13575
Budget 2024 : Ottawa garde une petite place pour la francophonie 4 mai 2024 Budget 2024 : Ottawa garde une petite place pour la francophonie Malgré un budget fortement axé sur le coût de la vie et le logement, la francophonie se fraie une place modeste dans le budget fédéral 2024-2025.
Le fédéral choisit de financer trois projets en Saskatchewan 29 avril 2024 Le fédéral choisit de financer trois projets en Saskatchewan Le Fonds de développement économique francophone des Prairies (FDÉFP) a sélectionné dix projets à financer, dont trois en Saskatchewan.
Anonym / 23 septembre 2015 / Catégories: 2015, SRC - Saskatchewan, Communication, Opinion, Politique Les larmes de crocodile d’Hubert T. Lacroix Hubert T. Lacroix, président-directeur général de SRC/CBC Je croyais que le cynisme avait ses limites, mais il semble que non. Le président-directeur général de Radio-Canada, Hubert T. Lacroix, a déclaré récemment que le « plus grand manquement » des diffuseurs publics « est de ne pas avoir parlé suffisamment haut et fort des menaces qui nous guettent. Notre situation fait penser à la fable de la grenouille qu’on place dans un récipient d’eau froide chauffée progressivement. Nous n’avons pas dit clairement que nous risquons de finir ébouillantés ». Pourtant, la grenouille gueule depuis longtemps, monsieur Lacroix. Les Jean-François Lépine, Pierre Maisonneuve et bien d’autres, qui ont contribué à donner à Radio-Canada ses lettres de noblesse, ont dénoncé haut et fort le dommage irréversible infligé à notre diffuseur public. Des gens ont marché dans la rue, de nombreuses associations ont manifesté leur inquiétude face à la situation. En Saskatchewan, l’Assemblée communautaire fransaskoise a dénoncé, en juin 2014, la « lente exécution du diffuseur public ». Monsieur Lacroix, vous n’avez rien vu venir? Est-ce vraiment possible avec votre expérience dans le domaine? C’est votre champ d’expertise après tout. Vous avez enseigné le droit des valeurs mobilières, des fusions et acquisitions d’entreprises à l’Université de Montréal. De 2000 à 2005, vous avez présidé d’une main de maître au démantèlement de l’empire médiatique québécois Télémédia et participé à la création de Telemedia Ventures à partir des recettes de cette vente de garage. Quelque chose sonne faux lorsque vous déclarez que « vous auriez dû sonner l’alerte plus tôt ». Le 12 mai 2014, à l’émission Pas de midi sans info, vous avez déclaré : « Je ne crois pas à une bataille sur la première page du journal avec les personnes qui sont en poste à Ottawa et qui ont un ascendant sur le radiodiffuseur public. » En effet, il n’y a pas eu de bataille en première page. Il ne semble pas y en avoir eu derrière les portes du conseil d’administration non plus, ce qui n’a rien d’étonnant lorsqu’on sait que tous ses membres ont des affinités très serrées avec le parti au pouvoir. En éliminant 25% du personnel, c’est le contenu qui a écopé. D’excellentes émissions d’affaires publiques ont mordu la poussière. On a de plus en plus de difficulté à voir une différence entre la SRC et d’autres diffuseurs. La Fédération des communautés francophones et aca-dienne a déclaré, en juin 2014, que « Radio-Canada était devenu méconnaissable ». Et tout ce temps, vous avez clamé que notre diffuseur public se réinventait. Vos lieutenants régionaux ont fidèlement défendu votre stratégie. Lors du Rendez-vous fransaskois en 2014, votre directeur des services de l’Ouest est venu informer la communauté francophone en Saskatchewan que tout allait bien et même que « ça allait s’améliorer avec la nouvelle génération de journalistes qui peut faire des reportages sur leur iPhone qu’on pourra regarder sur notre montre intelligente ». J’endosse entièrement le discours sur l’importance du virage numérique pour la société d’État. Mais, monsieur Lacroix, un changement d’une telle ampleur exige des investissements considérables, pas des coupures. On sait que les conservateurs ont une allergie viscérale face aux médias d’information en général et Radio-Canada en particulier. La série de coupures habilement étalées dans le temps ainsi que votre déclaration aux allures de « il est trop tard, sniff, sniff » ressemblent drôlement à une stratégie bien orchestrée pour faire disparaître notre diffuseur public. Je vous en prie, monsieur Lacroix, ne jouez pas le rôle de la victime dans ce scénario que vous avez mis en scène. P.S. : Et la prime de départ? C’est combien? Imprimer 57902 Balises: SRC coupuresHubert T. Lacroix Articles connexes Radio-Canada supprime le Midi plus/Saskatchewan Changements à la SRC: un enjeu de communication Radio-Canada en campagne SRC/CBC: un comité du Sénat rejette un financement stable et pluriannuel Rapport sur le financement de Radio-Canada : le diffuseur public n'est plus en mesure de remplir son mandat fondamental Monsieur Harper, ne démantelez pas notre diffuseur d’état! Réduction de la durée du Téléjournal Saskatchewan Radio Canada réduira à 30 minutes certains bulletins d'information régionaux Monsieur le Commissaire, donnez un coup de fil à vos avocats avant qu’il ne soit trop tard Trois postes abolis à Radio-Canada Saskatchewan Les commentaires sont visibles aux abonnés..