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Lutter contre le déclin démographique par la relance économique

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Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

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Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
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Actualité économique

Le Collège Mathieu abaisse ses frais de scolarité pour les élèves internationaux

Le Collège Mathieu abaisse ses frais de scolarité pour les élèves internationaux

Le 27 mai, le Collège Mathieu de Gravelbourg a annoncé une forte baisse des frais de scolarité à l’intention des étudiants internationaux qui souhaitent accéder à son programme bilingue de soins infirmiers auxiliaires autorisés. Francis Kasongo, président et directeur général de l’institution, explique les tenants et les aboutissants de cette décision.

Les frais pour élèves internationaux ont été abaissés de 13 000 dollars pour la première année et de 12 000 dollars pour la seconde. Pourquoi cette baisse ?

Nous avons lancé ce programme en 2018 et, depuis son implantation, nous avons eu quelques défis au niveau du recrutement, tant au niveau des étudiants canadiens que des élèves internationaux.

Le laboratoire et les cours théoriques se donnaient à Gravelbourg sur le campus principal en milieu rural, à une heure quarante-cinq de Regina et à trois heures de Saskatoon. 

Nous avons pu former quelques étudiants canadiens, mais la question du coût [environ 43 000 dollars pour les étudiants internationaux] revenait souvent.

Avec la pénurie de main-d’œuvre du personnel médical au pays, nous nous sommes demandé comment nous pouvions contribuer à une formation bilingue dans la province. C'est comme ça que l'idée a cheminé pour arriver à la conclusion que nous devions réviser le coût pour les étudiants internationaux.

Quelle différence existait-il jusqu’à présent entre les élèves canadiens et internationaux au niveau des frais de scolarité ?

On était autour de 22 000 dollars de différence, ce qui était énorme. Et nous sommes arrivés à la conclusion qu'il fallait revoir ça drastiquement, sans pour autant courir le risque d'anticiper un déficit par rapport à cette réduction.

Recruter des étudiants pour ce programme est-il difficile ?

L'an passé, on avait quatre étudiants, deux en première année et deux en deuxième année. Mais en principe, on devait en avoir quatorze.

Nous avons accusé un déficit d'inscriptions ces cinq dernières années. On a donc décidé de délocaliser notre laboratoire de santé de Gravelbourg au campus de Regina pour favoriser la proximité du programme avec le grand public.

Il y avait quelques hésitations pour certains étudiants potentiels. Le conseil d'administration du Collège Mathieu a été amené à délocaliser tous les programmes à Regina.

Selon vous, quand les répercussions de ces décisions se feront-elles sentir ?

Nous estimons que toutes les mesures que nous avons pu mettre en place depuis deux ou trois ans vont faire une différence à la prochaine rentrée académique.

Mais le but, c'est de combler les déficits au niveau de la formation et de ramener à un niveau raisonnable en termes de coûts.

Nous avons encore un défi au niveau de la promotion du programme. Même notre bailleur de fonds est au courant des problèmes que nous avons rencontrés au niveau du recrutement, donc il fallait réaligner nos stratégies.

Une fois que les étudiants sortent de ce programme, ont-ils tendance à aller travailler dans le milieu médical fransaskois ou à partir ailleurs ?

À date, tous nos étudiants en soins infirmiers auxiliaires bilingues autorisés travaillent dans notre province, dont ma fille qui a aussi fait le programme.

Notre objectif est de former du personnel de santé bilingue francophone qui travaille au terme de leurs études dans la communauté et dans notre province.

Nous n'avons pas que le programme du personnel de santé bilingue, nous avons aussi un programme de préposés aux soins de santé. Les quatre finissants de ce programme sont tous rentrés à l'hôpital de Gravelbourg. Et les deux finissants en soins infirmiers auxiliaires ont déjà des offres d'emploi.

Nos programmes sont arrimés aux besoins du marché de l'emploi. C'est la raison pour laquelle nous voulons que ce programme soit bilingue, même si nous offrons 60 % de ce programme en anglais et 40 % en français.

Comptez-vous déjà des inscriptions pour la prochaine session en septembre ?

Nous sommes dans le processus des inscriptions qui se clôturera fin août. Ce serait très tôt de nous avancer sur un chiffre, mais nous avons déjà quelques demandes d'admission et nous souhaitons accroître ce nombre-là pour arriver à la rentrée académique avec une hausse.

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Hélène Lequitte – IJL-Réseau.PresseGhita Hanane

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