Nous sommes trop gentils

Voici mon point de vue en lisant la lettre de Wilfrid Denis (et la réponse de la rédaction) dans l'Eau vive du 28 août au 3 septembre, 2014.

Le gouvernement se fout de nous. Pourquoi choisir un juge unilingue? Quand il y a un respect mutuel, les deux côtés essaient d'arriver à une entente qui bénéficie aux deux. 

Un feu, une fois commencé est difficile à arrêter. De même, si nous attendons le jour où le gouvernement va nous accommoder de bon gré, nous serons tellement habitués d'attendre le meilleur temps pour avancer, que nous ne réaliserons même pas que plutôt que d'avancer à petits pas, nous aurons reculé à grands pas.

Nous sommes tellement gentils, nous les francophones envers la majorité. La vie est tellement plus facile quand nous sommes gentils.  Restons tranquilles, on se défendra un autre jour quand la crise sera passée.

Où est la bonne volonté du gouvernement?  

– Alice Cullen

Prince Albert (SK)

Le statut bilingue d'Ottawa et Canadians for language Fairness Une « carte blanche » éblouissante sur les planches de la TDJ!