ioleda / 16 décembre 2024 / Catégories: 13 Automne 2024 - Hiver 2025, Poésie Poème nocture ioleda (Yukon) Le soleil de minuit – Éclatante merveille Clame sa poésie – Éloigne le sommeil Cependant la nature – Se repose apaisée Les oiseaux se sont tus – Leurs yeux à peine voilés Quatre heures c’est bien tôt – Je manque de sommeil Mais le chant des moineaux – Provoque mon réveil Ma conscience éveillée – Encore somnolente Cherche à se raccrocher – À ces êtres vivants Bientôt à ma fenêtre – Tout redevient silence Et un certain bien–être – Apaise mon attente Ici dans le Grand Nord – Le vent bat le rappel La nature toujours proche – Nous maintient en éveil Imprimer 10 Balises: ioleda Articles connexes Géographie personnelle
S’étendant sous un ciel ouvert : La topographie diversifiée de l’imagination littéraire dans l’Ouest et le Nord canadiens 11 juillet 2024
La Factory Autofiction. Trois Franco-Manitobains visitent la Factory d'Andy Warhol à New York en 1973.
Chouette Une jeune femme tente de se situer dans son environnement. La géographie de son histoire la pousse à explorer les confins de son humanité. Sur la carte de son existence, elle découvrira une bestialité insoupçonnée et libératrice.
La géographie des chances Un poème sur l'opposition ancestrale du nomade et du sédentaire. Nomadisme et sédentarité du corps et de l'esprit. Passion et symbolique de la carte, ses diverses sémantiques, puis son anagramme, liée au mouvement. Recherche des racines de l'auteur, regard sur ses nombreux voyages, dont celui de l'écriture.
Le sanctuaire A la pointe extrême du continent, au bord du Pacifique, dans un écrin de verdure, se cache un petit village dénommé Klahamin (le sanctuaire). Malgré son nom rassurant, et son décor ensorcelant, c'est le lieu de plusieurs catastrophes. Depuis l'époque de la ruée vers l'or, jusqu'à nos jours, en passant par le règne du Flower Power, ses habitants successifs n'ont pas eu de chance. La narratrice et son amoureux non plus.
je me cache Un poème écrit pendant la pandémie, pendant une période où des pensées sombres m'envahissaient, où je cherchais ma place. Texte encore pertinent aujourd'hui.
Géographie personnelle Ce texte rend hommage à mon pays d’accueil pour tout ce qu’il m’a donné depuis mon arrivée. Les cartes aériennes sont devenues ma passion, puis les cartes de toute nature.
Le peuple du train Récit d’un voyage en train à travers le Canada où les rencontres avec les passagers, le défilement des paysages et les arrêts en gare se fondent en un voyage intemporel.
D’une toundra à une autre Ce texte évoque les défis qui nous habitent lorsque l'on vit dans les zones reculées et souvent inhospitalières du Nord. Sans la connexion à la nature, l'importance de la communauté et la confrontation avec soi-même, il serait difficile d'y vivre et d'y prospérer. J'ai tenté de capturer la dualité de ces lieux extrêmes, où la beauté et la fragilité se mêlent dans un équilibre délicat.
L’endroit idéal pour grandir Un beau souvenir de la tendre enfance que j’ai vécue au Viêt Nam entourée de mes quatre grands-parents paternels et maternels.
Lettres du chemin (extrait) Lettres du chemin s’alimente de deux éléments : la réalisation d’un pèlerinage vers Saint-Jacques-de-Compostelle, via le Camino Francés, et un abécédaire de termes scientifiques et leurs définitions préparé par Evan Taylor-Fontaine. Les poèmes de Marie Carrière, parcourent des soucis écologiques aux confluents de l’expérience du tourisme, de la consommation, de la laïcité, du temps et du langage scientifique en poésie.
Micronouvelles Pour rendre hommage à notre ami et collègue Ian, décédé le 1er février 2024, nous vous offrons ces micronouvelles provenant de son livre Contes bleus à encre économe publié aux Éditions de la nouvelle plume