Même si cet édito était bilingue, près de la moitié des adultes canadiens n’auraient pas le niveau de lecture leur permettant de bien le comprendre. Non pas que j’écrive de façon incompréhensible (quoi que ça m’arrive parfois), mais tout simplement parce qu’un texte de type journalistique ou d’opinion requiert un niveau 4 ou 5 de littératie. Selon une étude de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), 48% de la population canadienne n’atteint pas le niveau 3.