Actualité littéraire

Les Éditions de la nouvelle plume déménagent

Rapprochement entre la maison d'édition et la CPF

Katarina Fasiangova, la nouvelle employée des Éditions de la nouvelle plume

Katarina Fasiangova, la nouvelle employée des Éditions de la nouvelle plume

Photo: Pierre-Émile Claveau (2017)
REGINA - Les Éditions de la nouvelle plume déménagent au Carrefour Horizon de l’École Monseigneur de Laval dans un des locaux de la Coopérative des publications fransaskoises. 

La maison d’édition quitte son local au Carrefour des Plaines de l’École élémentaire Monseigneur de Laval et s’installe au Carrefour Horizon. Le but premier but de ce déménagement est d’emménager dans un local ayant une plus grande superficie. Le second est de se rapprocher des autres organismes fransaskois. Il y un aspect d’accessibilité en jeu comme l’explique le président des ENP Laurier Gareau. « Dans le Carrefour des Plaines, c’est presqu’impossible pour les gens de nous visiter parce que les portes sont continuellement barrées à cause de l’école. » 

Un nouveau visage à la maison d'édition

Le déménagement signifie également l’entrée en poste d’une nouvelle employée. Katarina Fasiangova s’occupera de l’administration de la maison d’édition en plus d’alimenter les activités littéraires. Ce n’est pas la première fois que les Éditions de la nouvelle plume a une employée. En 2005, ils avaient partagé une personne avec la Société historique de la Saskatchewan. Laurier Gareau voit l’arrivée de Katarina comme un nouveau départ.

« J’espère qu’avec cette nouvelle employée, nous pourrons lancer de nouvelles initiatives que nous n’avons pas pu faire dans le passé. »   

Collaboration 

Les Éditions de la nouvelle plume et la Coopérative des publications fransaskoises (CPF) se partageront les services de madame Fasiangova. Elle s'occupera de certaines tâches administratives de la CPF. 

La présidente de la CPF Marie-France Kenny voit d’un bon œil cette collaboration. « Nous avons des mandats qui sont semblables. Pour nous, c’est une façon de maximiser nos ressources. »

Par ailleurs, la collaboration entre les organismes semble être à la mode. Tout comme la Coopérative des publications fransaskoises et les Éditions de la nouvelle plume, l’Association canadienne-française de Prince Albert et l’Association des parents fransaskois se partageront un employé d’ici quelques semaines. 

Marie-France Kenny croit qu’il s’agit d’un modèle à suivre. « Il s’agit d’une excellente initiative. Je crois que nous devons nous regrouper et maximiser nos ressources tout en allant de l’avant. » explique-t-elle. 

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