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La cérémonie d’ouverture du Mois de l’histoire des Noirs a eu lieu le 2 février au Bistro du Carrefour des Plaines à Regina.
Entre des activités estivales passées et à venir, la Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan (CAFS) a tenu son assemblée générale annuelle le 24 juin. Une trentaine de membres se sont réunis de façon virtuelle pour dresser le bilan de l’année écoulée : l’organisme demeure très actif dans sa mission d’accueil, d’accompagnement et d’intégration, en dépit de quelques défis à relever.
Le 5 mai, le Partenariat provincial interculturel (PPI) a invité la communauté fransaskoise à une activité d'échange et de réflexion sur les aspirations et les besoins des femmes francophones de la province. Les discussions, appuyées par les résultats d’un sondage, ont mis en exergue la contribution des Fransaskoises à la vie communautaire, tout en dressant la liste des défis à relever.
Le 25 mars, une trentaine de Fransaskois sont partis à la découverte des Premiers Peuples des Plaines. Une activité ludique et culturelle organisée par la Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan (CAFS), en collaboration avec le Service d'accueil et d'immigration francophone (SAIF-SK), au sein du parc Wanuskewin à Saskatoon.
Le 4 février, la Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan (CAFS) a officiellement inauguré le Mois de l'histoire des Noirs. Le thème de cette année, Reconnaissance, Justice et Développement, a été abordé lors de deux conférences et de témoignages, rassemblant une trentaine de personnes autour de sujets sociétaux sensibles et actuels.
Le 12 novembre en soirée, une centaine de personnes se sont rassemblées dans l’auditorium de l’école Monseigneur de Laval à Regina à l’occasion du Gala culturel africain organisé par la Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan (CAFS). Une rencontre placée sous le signe du partage et du folklore.
Depuis le 3 octobre, Melchior Niyonkuru a pris la barre de la Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan (CAFS). Le nouveau directeur général souhaite avant tout établir et entretenir un climat de confiance avec ses partenaires.
Le moment fort de cette cérémonie était sans aucun doute le témoignage de Carol LaFayette-Boyd, descendante de familles noires venues au Canada au début du 20e siècle.
La Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan a organisé une activité de sensibilisation sur les droits de la personne et la discrimination.
Les instigateurs du Partenariat provincial interculturel ont lancé un microsite web pour une communauté plus harmonieuse.
La Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan se montre résiliente malgré les contraintes de la pandémie lors de son assemblée générale annuelle.
Les porte-paroles du Partenariat provincial interculturel ont dévoilé les résultats d’un sondage sur la discrimination et l’intimidation au sein de la fransaskoisie.
Mireille Bizimana est devenue le 27 avril la nouvelle directrice générale de la Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan (CAFS). Entretien.
Rosalie Umuhoza aura été la deuxième directrice générale de la Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan (CAFS). Entretien.
Le docteur Abdoulaye Yoh répond aux questions sur le racisme dans le cadre d’une nouvelle formation offerte gratuitement à la communauté fransaskoise
C’est le temps de la rentrée et on a beaucoup parlé des écoles du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF), mais il y a aussi les autres : les écoles d’immersion. Pour faire un point sur ce secteur, nous avons rencontré M. Paul Bazin, conseiller pédagogique pour toutes les écoles d’immersion publiques de Saskatoon.
Depuis une semaine, les écoles ont repris leurs activités. Pour les jeunes Fransaskoises et Fransaskois, c’est maintenant une chose normale que d’aller dans une école fransaskoise. Mais il n’y a pas si longtemps, ce n’était pas la réalité.
Entrevue avec Donald Michaud, le directeur de l’éducation par intérim au Conseil des écoles fransaskoises (CÉF).
Rencontre avec Dolorèse Nolette, directrice générale de l’éducation par intérim au Conseil des écoles fransaskoises (CÉF).
Un consensus semble atteint par tous les interlocuteurs du CÉF qui prennent maintenant un certain recul après avoir exprimé leurs critiques et veulent laisser les personnes en charge le soin de travailler à l’amélioration de son fonctionnement.
On se souvient d’un commentaire de Francis Potié, directeur général de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), à propos des coupures de Patrimoine canadien lors d’une table ronde à l’Institut français. « Tout ne va pas si mal. » Il me semble qu’il pourrait aussi bien s’appliquer à la « crise » qu’est en train de traverser le CÉF.
C’était l’effervescence au Pavillon secondaire des quatre vents (PSQV) de l’école Laval à Regina en cette matinée de rentrée, mardi 2 septembre.
La rentrée scolaire 2014 ne fera sans doute pas exception. Encore une fois, trop d’enfants de parents ayants droit ne seront pas inscrits à une école francophone. Une tendance qui met en péril l’avenir des communautés francophones en situation minoritaire.
Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a dévoilé, le 18 août dernier, les détails de la restructuration de ses services éducatifs. Ces changements ont été apportés afin, selon le CÉF, de «mieux répondre aux nouveaux défis qui découlent des compressions budgétaires annoncées en juin 2014. [L]a réorganisation des services voués aux élèves permettra de favoriser la réussite des élèves et l’accompagnement des intervenants dans les écoles. »
Le juge Barrington Foote de la Cour du Banc de la Reine a ordonné au gouvernement de la Saskatchewan, le 19 août, de payer la somme de 500 000 $ pour renflouer les coffres du Conseil scolaire fransaskois (CSF) pour l’année 2014-2015.
À entendre que le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a finalement fermé la résidence à l’École secondaire Collège Mathieu (ESCM) de Gravelbourg n’était pas une grande surprise pour moi. J’ai été le premier directeur académique de l’ESCM sous les auspices du CÉF.
Après avoir été secouée par des remous internes ces derniers jours avec l’éviction de son président, Colin Keess, pour des motifs encore flous, lors d’un vote de non-confiance, la Fédération des enseig nants de la Saskatchewan (Saskatchewan Teachers’ Federation – STF) et le gouvernement de la Saskatchewan se sont mis d’accord pour faire appel à un conciliateur puisque les négociations qu’ils ont engagées pour la rédaction d’une nouvelle convention collective sont au point mort.
Dans les démarches entourant sa demande d’injonction pour réclamer un montant supplémentaire de 5,2 millions de dollars au gouvernement provincial, le Conseil scolaire fransaskois n’a pas mis toutes les chances de son côté.
Le Conseil scolaire fransaskois (CSF) a, comme prévu, plaidé par la voix de son avocat, Me Roger Lepage, devant la Cour du Banc de la Reine à Regina, lors d’une injonction, pour obtenir la somme de 5,2 millions de dollars du gouvernement provincial les 6 et 7 août derniers.
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- Thursday 18 April 2024