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Le 12 mars à Regina, le Palais législatif a été le témoin d'un événement emblématique du printemps : la proclamation des Rendez-vous de la francophonie (RVF).
Le français chevillé au corps, deux passionnés partagent les récits de francophones de partout dans le monde dans un balado diffusé depuis Louisville aux États-Unis.
PUBLIREPORTAGE - Les chercheuses et les chercheurs de la francophonie canadienne font de plus en plus entendre leurs voix.
PUBLIREPORTAGE - Les Rendez-vous de la Francophonie (RVF) proposent une série d’activités, de spectacles et de concours pour que chacun puisse vivre et exprimer sa francophonie chez soi.
Depuis 15 ans, le Centre de la francophonie a pour mission de faire vivre la francophonie au Québec, au Nouveau-Brunswick, en Louisiane, au Brésil...
Découvrez l’épisode portant sur l’Acfas-Saskatchewan du balado Le savoir et le dire, produit par l’Acfas.
Un cartographe a créé en 2022 une carte des communautés fransaskoises. Un document passé un peu inaperçu qui pourrait pourtant inspirer les visiteurs à mieux découvrir la fransaskoisie.
À 7 000 kilomètres de la Saskatchewan, une étudiante à l’Université de Brême en Allemagne mène une étude sur le fait fransaskois. C’est que Flora Riechel, originaire de France, a toujours été attachée à la fransaskoisie, une communauté qui l’a accueillie en 1995.
Pour Jean-François Savard, professeur à l’École nationale d’administration publique (ENAP), le manque de bilinguisme chez les cadres de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) n’est pas une nouvelle en soi, mais un produit de la société.
Le 7 juin, Le français pour l’avenir a présenté sa liste d’ambassadeurs qui assisteront au Forum national des jeunes ambassadeurs 2023 qui se tiendra à Halifax en août. Parmi les 35 jeunes choisis figurent deux Saskatchewanais : Nyshane Clarke de Regina et Neyva Abbasi de Moose Jaw.
Vous trouvez-vous dans un désert médiatique ou dans une zone de pauvreté de nouvelles ? Possiblement, surtout si vous vivez à l’extérieur d’un grand centre ou si vous êtes en contexte minoritaire. Sachez que vous pouvez aider !
La Louisiane a accueilli du 22 au 27 mai 50 francophones d’une dizaine de pays du continent pour l’Université d’été sur la francophonie des Amériques. Cette 6e édition du rassemblement s’est déroulée pour la première fois à l’extérieur du Canada. Au menu des discussions : « pérennité et développements de la francophonie des Amériques ».
Les francophones qui veulent immigrer hors Québec ont désormais une catégorie qui leur est réservée dans le système Entrée express : la « compétence linguistique en français ». Avec davantage de points attribués, ces candidats auront donc plus de chances d’obtenir la résidence permanente.
Affirmer continuellement que le français est en déclin contribuerait au sentiment d’insécurité linguistique. Selon des sociolinguistes, le discours autour de la vitalité de la langue française doit être davantage nuancé, particulièrement en francophonie minoritaire.
FRANCOPRESSE – Une soixantaine d’organismes du Québec et de la francophonie canadienne sont réunis à Québec pour la seconde édition de Mobilisation franco. L’évènement, organisé conjointement par la Fédération des communautés francophones et acadienne et le Centre de la francophonie des Amériques, vise à tisser davantage de liens entre les organismes francophones du pays.
Depuis une semaine, les écoles ont repris leurs activités. Pour les jeunes Fransaskoises et Fransaskois, c’est maintenant une chose normale que d’aller dans une école fransaskoise. Mais il n’y a pas si longtemps, ce n’était pas la réalité.
Entrevue avec Donald Michaud, le directeur de l’éducation par intérim au Conseil des écoles fransaskoises (CÉF).
Rencontre avec Dolorèse Nolette, directrice générale de l’éducation par intérim au Conseil des écoles fransaskoises (CÉF).
Un consensus semble atteint par tous les interlocuteurs du CÉF qui prennent maintenant un certain recul après avoir exprimé leurs critiques et veulent laisser les personnes en charge le soin de travailler à l’amélioration de son fonctionnement.
On se souvient d’un commentaire de Francis Potié, directeur général de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), à propos des coupures de Patrimoine canadien lors d’une table ronde à l’Institut français. « Tout ne va pas si mal. » Il me semble qu’il pourrait aussi bien s’appliquer à la « crise » qu’est en train de traverser le CÉF.
C’était l’effervescence au Pavillon secondaire des quatre vents (PSQV) de l’école Laval à Regina en cette matinée de rentrée, mardi 2 septembre.
La rentrée scolaire 2014 ne fera sans doute pas exception. Encore une fois, trop d’enfants de parents ayants droit ne seront pas inscrits à une école francophone. Une tendance qui met en péril l’avenir des communautés francophones en situation minoritaire.
Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a dévoilé, le 18 août dernier, les détails de la restructuration de ses services éducatifs. Ces changements ont été apportés afin, selon le CÉF, de «mieux répondre aux nouveaux défis qui découlent des compressions budgétaires annoncées en juin 2014. [L]a réorganisation des services voués aux élèves permettra de favoriser la réussite des élèves et l’accompagnement des intervenants dans les écoles. »
Le juge Barrington Foote de la Cour du Banc de la Reine a ordonné au gouvernement de la Saskatchewan, le 19 août, de payer la somme de 500 000 $ pour renflouer les coffres du Conseil scolaire fransaskois (CSF) pour l’année 2014-2015.
À entendre que le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a finalement fermé la résidence à l’École secondaire Collège Mathieu (ESCM) de Gravelbourg n’était pas une grande surprise pour moi. J’ai été le premier directeur académique de l’ESCM sous les auspices du CÉF.
Après avoir été secouée par des remous internes ces derniers jours avec l’éviction de son président, Colin Keess, pour des motifs encore flous, lors d’un vote de non-confiance, la Fédération des enseig nants de la Saskatchewan (Saskatchewan Teachers’ Federation – STF) et le gouvernement de la Saskatchewan se sont mis d’accord pour faire appel à un conciliateur puisque les négociations qu’ils ont engagées pour la rédaction d’une nouvelle convention collective sont au point mort.
Dans les démarches entourant sa demande d’injonction pour réclamer un montant supplémentaire de 5,2 millions de dollars au gouvernement provincial, le Conseil scolaire fransaskois n’a pas mis toutes les chances de son côté.
Le Conseil scolaire fransaskois (CSF) a, comme prévu, plaidé par la voix de son avocat, Me Roger Lepage, devant la Cour du Banc de la Reine à Regina, lors d’une injonction, pour obtenir la somme de 5,2 millions de dollars du gouvernement provincial les 6 et 7 août derniers.
Mises à pied, démission du directeur, réductions de programmes et coupure du budget de 4,4 millions $. Suivant l’échec de pourparlers, le gouvernement a décrété le 12 juin un audit des finances du Conseil scolaire fransaskois. Le 26 juin, le CSF lançait une nouvelle poursuite
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- Thursday 28 March 2024