Catégories
Chroniques
Éducation
Le 12 mars à Regina, le Palais législatif a été le témoin d'un événement emblématique du printemps : la proclamation des Rendez-vous de la francophonie (RVF).
Après avoir connu un grand succès au festival FROST l’année dernière, l’Association communautaire fransaskoise de Regina (ACFR) a réitéré l’expérience cette année avec sa fameuse cabane à sucre.
C’est à Regina le 6 mai que s’est déroulée la 137e rencontre des députés communautaires. À l’ordre du jour de cette journée figuraient appel à candidatures, revue des finances, tour d’horizon post-pandémie des communautés et annonce des élections.
Le 8 mars, une trentaine de femmes se sont réunies au Bistro du Carrefour des Plaines de l’Association communautaire fransaskoise de Regina (ACFR) pour la première fois depuis sa réouverture afin de célébrer la Journée internationale des droits des femmes.
Le 3 février, l’Association communautaire fransaskoise de Regina (ACFR) a bravé le froid pour offrir une activité culturelle dans le cadre du festival hivernal FROST à Regina. La fameuse cabane à sucre a accompagné l’ouverture officielle de l’événement, faisant la joie des visiteurs, petits et grands.https://frostregina.com/
Costumes, chapeaux, foulards, chaussures… La garde-robe de l’Association communautaire fransaskoise de Regina (ACFR), située dans l’auditorium du Carrefour Horizons, compte des centaines de vêtements et accessoires. Des étoffes qui pourraient rapporter gros sur le long terme.
Dans le cadre de la rentrée des classes, l’Association communautaire fransaskoise de Regina (ACFR), en partenariat avec le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF), a dévoilé trois bibliothèques communautaires extérieures. L’objectif : favoriser le partage de livres et encourager à la lecture en français.
L’Association communautaire fransaskoise de Regina (ACFR) renouvelle sa programmation en se lançant dans des visites guidées en français de la ville de Regina. Les 15, 19 et 21 juin derniers, l’organisme local a accueilli trois groupes de vacanciers de la Fédération du camping et du caravanage du Québec (FQCC).
La campagne numérique bilingue Venez nous découvrir a été lancée par le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS), le 4 avril, pour une deuxième édition. L’occasion de revenir sur les nouveautés de ce volet 2022 et le bilan de l’an dernier.
Le 29 mars, l’Association canadienne-française de Regina (ACFR) a invité la communauté à une soirée d’information intitulée L’ACFR vers demain. L’objectif : insuffler une nouvelle énergie dans l’organisme en perte de vigueur depuis quelques années.
L’Association canadienne-française de Regina a organisé sa traditionnelle soirée vin-fromage suivie d’un atelier de peinture avec l’artiste locale Diana Ntibandetse.
La capitale de la Saskatchewan devient la 5e ville du Canada à recevoir le précieux trophée de Ville amie des oiseaux.
Contrairement à l’année dernière à pareille date, les Fransaskois ont pu enfin se rassembler pour la traditionnelle levée du drapeau fransaskois, cette fois-ci devant l’hôtel de ville de Regina.
La présentation du court métrage Wicked Plans à Hollywood restera un souvenir magique pour Devlin Horth et sa mère Denise Séguin.
L’Association canadienne-française de Regina (ACFR) a lancé au début du mois de février un sondage afin de revoir sa programmation et renouveler son identité.
Depuis une semaine, les écoles ont repris leurs activités. Pour les jeunes Fransaskoises et Fransaskois, c’est maintenant une chose normale que d’aller dans une école fransaskoise. Mais il n’y a pas si longtemps, ce n’était pas la réalité.
Entrevue avec Donald Michaud, le directeur de l’éducation par intérim au Conseil des écoles fransaskoises (CÉF).
Rencontre avec Dolorèse Nolette, directrice générale de l’éducation par intérim au Conseil des écoles fransaskoises (CÉF).
Un consensus semble atteint par tous les interlocuteurs du CÉF qui prennent maintenant un certain recul après avoir exprimé leurs critiques et veulent laisser les personnes en charge le soin de travailler à l’amélioration de son fonctionnement.
On se souvient d’un commentaire de Francis Potié, directeur général de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), à propos des coupures de Patrimoine canadien lors d’une table ronde à l’Institut français. « Tout ne va pas si mal. » Il me semble qu’il pourrait aussi bien s’appliquer à la « crise » qu’est en train de traverser le CÉF.
C’était l’effervescence au Pavillon secondaire des quatre vents (PSQV) de l’école Laval à Regina en cette matinée de rentrée, mardi 2 septembre.
La rentrée scolaire 2014 ne fera sans doute pas exception. Encore une fois, trop d’enfants de parents ayants droit ne seront pas inscrits à une école francophone. Une tendance qui met en péril l’avenir des communautés francophones en situation minoritaire.
Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a dévoilé, le 18 août dernier, les détails de la restructuration de ses services éducatifs. Ces changements ont été apportés afin, selon le CÉF, de «mieux répondre aux nouveaux défis qui découlent des compressions budgétaires annoncées en juin 2014. [L]a réorganisation des services voués aux élèves permettra de favoriser la réussite des élèves et l’accompagnement des intervenants dans les écoles. »
Le juge Barrington Foote de la Cour du Banc de la Reine a ordonné au gouvernement de la Saskatchewan, le 19 août, de payer la somme de 500 000 $ pour renflouer les coffres du Conseil scolaire fransaskois (CSF) pour l’année 2014-2015.
À entendre que le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a finalement fermé la résidence à l’École secondaire Collège Mathieu (ESCM) de Gravelbourg n’était pas une grande surprise pour moi. J’ai été le premier directeur académique de l’ESCM sous les auspices du CÉF.
Après avoir été secouée par des remous internes ces derniers jours avec l’éviction de son président, Colin Keess, pour des motifs encore flous, lors d’un vote de non-confiance, la Fédération des enseig nants de la Saskatchewan (Saskatchewan Teachers’ Federation – STF) et le gouvernement de la Saskatchewan se sont mis d’accord pour faire appel à un conciliateur puisque les négociations qu’ils ont engagées pour la rédaction d’une nouvelle convention collective sont au point mort.
Dans les démarches entourant sa demande d’injonction pour réclamer un montant supplémentaire de 5,2 millions de dollars au gouvernement provincial, le Conseil scolaire fransaskois n’a pas mis toutes les chances de son côté.
Le Conseil scolaire fransaskois (CSF) a, comme prévu, plaidé par la voix de son avocat, Me Roger Lepage, devant la Cour du Banc de la Reine à Regina, lors d’une injonction, pour obtenir la somme de 5,2 millions de dollars du gouvernement provincial les 6 et 7 août derniers.
Mises à pied, démission du directeur, réductions de programmes et coupure du budget de 4,4 millions $. Suivant l’échec de pourparlers, le gouvernement a décrété le 12 juin un audit des finances du Conseil scolaire fransaskois. Le 26 juin, le CSF lançait une nouvelle poursuite
Accueil | Contacts | L'Eau vive en PDF | Galeries de photos | Bottin | |
- Thursday 28 March 2024