150 ans Festival Cinergie 2024
Close
Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie

Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie

1554

Grâce aux financements du Fonds de développement économique francophone des Prairies (FDÉFP), trois organismes fransaskois peuvent concrétiser leur projet. De quoi bonifier l’offre de services en français dans la province.

La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan

La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan

2600
L'ambassadeur de Belgique au Canada, Patrick Van Gheel, a effectué une visite officielle en Saskatchewan du 24 au 27 octobre afin de « renforcer les liens croissants entre la Belgique et la province ». Des liens qui se veulent surtout économiques.
Le CÉCS dresse le portrait des régions Le CÉCS dresse le portrait des régions

Le CÉCS dresse le portrait des régions

Disponibles sur le site du Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) depuis la mi-juin, six rapports statistiques offrent un...
2809
Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire

Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire

Depuis le 3 août, une nouvelle application, Too good to go, permet aux habitants de Regina et de Saskatoon de réduire leur gaspillage alimentaire....
2821
Le CÉCS investit pour l’avenir Le CÉCS investit pour l’avenir

Le CÉCS investit pour l’avenir

En se dotant d’un fonds d’investissement depuis la première fois de son existence, le Conseil économique et coopératif de la...
3696
Léger ralentissement de l’inflation en décembre Léger ralentissement de l’inflation en décembre

Léger ralentissement de l’inflation en décembre

FRANCOPRESSE – Malgré un maintien des prix élevés au Canada, l’Indice des prix à la consommation (IPC) est passé de 6,8 % à...
4796

Les immigrants, une richesse économique plus que jamais éduquée

FRANCOPRESSE – Le Canada peut se targuer d’avoir la main-d’œuvre la plus scolarisée des sept plus grandes puissances du monde. C’est en grande partie les immigrants qui ont hissé le pays en tête du classement. Ottawa mise plus que jamais sur l’immigration économique de travailleurs hautement qualifiés. Pourtant, les compétences des nouveaux arrivants ne sont...
RSS
1345678910Last
Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

Le CCS sur Facebook

Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.
Monday, November 15, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
Thursday, September 30, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/
RSS
1345678910Last

Actualité économique

Ahmed Hassan (EV)
/ Categories: 2015, Société, Immigration

Parcours d'un immigrant – 1ere partie

De Djibouti à Prince Albert….

Ahmed Hassan Farah et son épouse

Ahmed Hassan Farah et son épouse

Alors que rien ne destinait notre famille à venir vivre au Canada, cette aventure nous tentait depuis fort longtemps.

Nous sommes Français, mais nous avons la double nationalité avec Djibouti (Afrique de l’Est). Je suis né là-bas et j'y ai vécu jusqu’à mes 18 ans. Puis, je suis allé en France pour mes études universitaires et j'y ai rencontré mon épouse.

Après avoir vécu longtemps en France, nous avons fait le choix de vivre à Djibouti où nous sommes restés 6 ans, jusqu’à ce jour de septembre 2013 où mon épouse a envoyé sa candidature pour le poste de directrice de la garderie Trésors du Monde à Prince Albert. En novembre, elle reçut une réponse favorable et nous avons alors pris conscience que notre vie en Afrique prenait fin dès janvier 2014.

C’est alors que nos péripéties pour obtenir nos permis de travail ont débuté!

Comme nous étions, nos enfants et nous-même, Français, il nous semblait aisé d’obtenir nos papiers pour entrer et surtout travailler légitiment sur le territoire canadien. C’était sans compter que nous vivions en Afrique de l’Est, dans une zone où le terrorisme sévissait fortement.

Pour la demande de permis de travail, il fallait recueillir un grand nombre de papiers: des actes de naissance, la certification de nos diplômes par l'organisme canadien World Education Services,  des preuves d'inscription dans les écoles pour nos enfants, etc.. Une véritable chasse aux trésors aux documents se mit en place!!!

Une fois le dossier complet, nous avons envoyé notre demande, soulagés, car le moment du départ approchait à grands pas. Aussi quel ne fut pas notre désarroi lorsque 2 jours plus tard, nous recevions une réponse négative de l'ambassade canadienne au Kenya. Notre dossier était fermé.

Les enfants d'Ahmed Hassan Farah

Les enfants d'Ahmed Hassan Farah

Toutes nos illusions s’écroulaient en quelques secondes, à un mois de notre départ.

Difficile de savoir ce qui a motivé ce refus. Mais nous avons eu l’intime conviction que l’attentat islamiste perpétré dans un centre commercial à Nairobi (capitale du Kenya) quelques semaines auparavant y était pour quelque chose.

Fort heureusement et grâce à l’aide de Jacqueline Grenier de Liaison Nord à Bellevue, l’ambassade du Canada à Paris s’est saisie de notre dossier et a accepté de le rouvrir afin d’examiner notre demande.

En attendant la réponse et en nourrissant l'espoir d’obtenir le fameux sésame, nous regardions quotidiennement, en décembre, les températures extrêmes de Prince Albert.

Après 6 ans d’Afrique, nos affaires les plus chaudes se résumaient en une paire de chaussures de sport et des chandails!  Comment faire comprendre à nos enfants que dans leur future vie, ils devraient couvrir chaque partie de leur corps sous peine de finir complètement transis?  Inconcevable, et pour eux, et pour nous…

Après quelques jours d’attente interminable, les fameux permis de travail et d’études sont arrivés dans notre boîte courriel. Cette fois-ci, l’appel du Grand Nord se concrétisait et il nous fallait trouver de toute urgence quelques vêtements chauds pour affronter la dureté de l’hiver 2013-2014.

À suivre...

 

Print
20030

Ahmed Hassan (EV)Ahmed Hassan

Other posts by Ahmed Hassan (EV)
Contact author
Comments are only visible to subscribers.

Contact author

x
Terms Of UsePrivacy StatementCopyright 2014 par L'Eau vive
Back To Top