Close
Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie

Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie

1186

Grâce aux financements du Fonds de développement économique francophone des Prairies (FDÉFP), trois organismes fransaskois peuvent concrétiser leur projet. De quoi bonifier l’offre de services en français dans la province.

La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan

La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan

2068
L'ambassadeur de Belgique au Canada, Patrick Van Gheel, a effectué une visite officielle en Saskatchewan du 24 au 27 octobre afin de « renforcer les liens croissants entre la Belgique et la province ». Des liens qui se veulent surtout économiques.
Le CÉCS dresse le portrait des régions Le CÉCS dresse le portrait des régions

Le CÉCS dresse le portrait des régions

Disponibles sur le site du Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) depuis la mi-juin, six rapports statistiques offrent un...
2332
Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire

Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire

Depuis le 3 août, une nouvelle application, Too good to go, permet aux habitants de Regina et de Saskatoon de réduire leur gaspillage alimentaire....
2430
Le CÉCS investit pour l’avenir Le CÉCS investit pour l’avenir

Le CÉCS investit pour l’avenir

En se dotant d’un fonds d’investissement depuis la première fois de son existence, le Conseil économique et coopératif de la...
3412
Léger ralentissement de l’inflation en décembre Léger ralentissement de l’inflation en décembre

Léger ralentissement de l’inflation en décembre

FRANCOPRESSE – Malgré un maintien des prix élevés au Canada, l’Indice des prix à la consommation (IPC) est passé de 6,8 % à...
4436

Les immigrants, une richesse économique plus que jamais éduquée

FRANCOPRESSE – Le Canada peut se targuer d’avoir la main-d’œuvre la plus scolarisée des sept plus grandes puissances du monde. C’est en grande partie les immigrants qui ont hissé le pays en tête du classement. Ottawa mise plus que jamais sur l’immigration économique de travailleurs hautement qualifiés. Pourtant, les compétences des nouveaux arrivants ne sont...
RSS
1345678910Last
Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

Le CCS sur Facebook

Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.
Monday, November 15, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
Thursday, September 30, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/
RSS
1345678910Last

Actualité économique

Anonym

Immigrants économiques : des choix sont faits avant d’arriver

Des organismes nationaux collaborent pour faciliter la démarche de candidats à l’immigration avant de quitter leur pays, grâce à un programme d’intégration maintenant disponible en français. 


« Nous sommes le premier point d’accès avant que l’immigrant n’arrive au Canada et nous sommes la première source de référence pour eux », déclare Jocelyne Lalonde, la directrice générale de l’Association des collèges et universités de la francophonie canadienne. L’organisme gère depuis quelques mois la version française du Programme canadien d’intégration des immigrants, un service fédéral offert depuis cinq ans.

Après deux ans de démarches auprès de Citoyenneté et Immigration Canada pour obtenir la version francophone du programme, l’association a reçu un financement pour les deux prochaines années, explique-t-elle. Treize des vingt membres font partie de l’initiative.

 

« L’immigrant économique avec qui nous entrons en contact a déjà entamé le processus et demandé un visa. Dans un premier temps, nous offrons un atelier d’orientation de groupe d’une journée. Ensuite, il y a une séance de planification individuelle. Avec notre premier groupe de treize candidats, dix ont fait la deuxième étape de planification. Tout cela se fait en ligne. »

Le premier jour est consacré à renseigner les candidats sur les communautés francophones. Le deuxième permet d’explorer les capacités des demandeurs et les besoins de formation. Ces services sont offerts gratuitement.

 

« Nous faisons un plan avec chacun des candidats, souligne Jocelyne Lalonde. Si par exemple, la personne se dirige vers Winnipeg, on va lui parler de l’Université de Saint-Boniface, des possibilités de formation et d’accueil dans la ville. Et on va lui donner les coordonnées du Réseau de développement économique et d’employabilité dans la province. Les RDÉE sont nos partenaires, nous sommes une source de référence pour eux. »

 

Le RDÉE Canada participe au service pré-départ, confirme la gestionnaire de la concertation nationale, Roukya Abdi Aden. « Avant, on s’occupait des immigrants économiques une fois qu’il étaient arrivés au Canada. Depuis septembre, le service est étendu aux candidats dans leur pays d’origine. Tout francophone désigné pour recevoir la résidence peut obtenir notre aide au cours des trois à six mois avant son arrivée. L’immigrant qui cherche un emploi peut faire des démarches pour obtenir une formation, ajoute-t-elle. Un professionnel, comme un vétérinaire, peut obtenir l’information nécessaire pour entrer sur le marché du travail. Avant, ce niveau de service taillé sur mesure n’existait pas avant l’arrivée au pays. »

 

Intégration accélérée


Selon Roukya Abdi Aden, les évaluations portant sur les immigrants anglophones ont montré un taux élevé et plus rapide d’intégration sur le marché du travail. Cette approche favoriserait aussi la rétention des nouveaux arrivants dans leur communauté d’adoption.

Au sein du réseau national, le dossier est piloté par l’Ontario, grâce à un programme existant, comme le signale le directeur général par intérim du RDÉE Ontario, Pierre Tessier. « Avec notre service La bonne affaire, nous sommes heureux d’avoir été désignés comme leader de la coordination. La moitié des immigrants s’établissent en Ontario et les nouveaux arrivants composent jusqu’à 29 % de la main-d’œuvre ontarienne. Il est crucial de les aiguiller avant leur arrivée afin d’optimiser leur chances de réussir. »

 

À leur arrivée, les immigrants économiques sont accueillis par l’un ou plusieurs des 250 membres des Réseaux d’immigration francophone établis dans chacune des provinces et territoires. Ces RIF sont représentés autour de la Table nationale de concertation communautaire en immigration francophone, coordonnée par la Fédération des communautés francophones et acadienne (FCFA) du Canada.

La FCFA joue plusieurs rôles en matière d’immigration, à titre d’interlocutrice principale des communautés auprès de Citoyenneté et Immigration Canada. Elle participe à l’élaboration de cibles nationales et copréside le Comité conjoint réunissant des représentants du ministère et de la francophonie. La fédération assure également le volet promotion du dossier en coordonnant la Semaine nationale de l’immigration francophone. La 3e édition aura lieu du 1er au 7 novembre.

 

Print
20274
Comments are only visible to subscribers.

Contact author

x
Terms Of UsePrivacy StatementCopyright 2014 par L'Eau vive
Back To Top