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« On voit maintenant l’impact de l’économie francophone ». – Mariette Mulaire

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WINNIPEG - Fin avril 2015, les 300 membres de l’Association internationale des WTC ont élu Mariette Mulaire à leur Conseil d’administration.


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Après plus de 11 ans au service du CCS, Robert Carignan a fait le saut vers la retraite le 31 mars dernier.

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ST-DENIS - Le dimanche 26 avril, après un dernière petite chute de neige imprévue (on l’espère), la ferme...
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OTTAWA – Bien que certains groupes, dont les organismes porte-parole des francophones vivant en situation minoritaire, estiment avoir...
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La Revue historique et la sauvegarde du patrimoine fransaskois bénéficieront de nouveaux outils de financement.

 

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Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

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Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.
Monday, November 15, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
Thursday, September 30, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/
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Actualité économique

Anonym
/ Categories: 2016, Arts et culture

La culture à l’ère numérique

Être ou ne pas être (protégé) ?

La directrice générale du Regroupement artistique francophone de l’Alberta, Sylvie Thériault, s’adresse aux membres lors du récent Forum annuel des arts et de la culture.

La directrice générale du Regroupement artistique francophone de l’Alberta, Sylvie Thériault, s’adresse aux membres lors du récent Forum annuel des arts et de la culture.

Photo: RAFA (2016)
Les 10 000 participants aux pré-consultations sur la politique culturelle ont identifié deux priorités : la visibilité du contenu canadien en ligne et la concurrence étrangère. La prochaine étape lancée mi-septembre par Patrimoine canadien porte sur l’approche à prendre dans l’ère numérique. Quels messages les francophones porteront-ils ?

Le ministère a décidé en partant de ne pas encadrer le contenu de l’étranger sur Internet, mais « de se concentrer sur la meilleure façon d’appuyer les créateurs et entrepreneurs culturels pour qu’ils créent du contenu qui se démarque ».

Le défi numérique, lance la directrice générale du Regroupement artistique francophone de l’Alberta, Sylvie Thériault, « c’est que ça va plus vite que nous. Il faut s’y intéresser et se faire valoir. Mais des fois, après deux minutes, ce qu’on a fait est oublié. Ma stratégie des médias sociaux doit être continuellement adaptée. Ça soulève la question de la formation. »

L’organisme s’est doté en 2009 d’une stratégie en développement de public pour appuyer ses 150 membres : des artistes, ainsi qu’une vingtaine de diffuseurs et de groupes culturels.

« On a reçu des fonds pour actualiser cette stratégie, souligne Sylvie Thériault, qui a participé aux consultations nationales. L’artiste doit se faire valoir, la communauté aussi. Comment se rendre plus performant comme organisme et avec quels investissements ? L’action qu’on prend cette année, c’est de mieux faire connaître nos produits. » 

La consultation fédérale inclura la question identitaire. Selon la ministre du Patrimoine, l’exploration des soutiens vise les créateurs de contenus, mais aussi les consommateurs, à savoir comment ils se reconnaissent dans l’offre.

« Oui, il faut protéger la culture canadienne dans l’ère numérique, estime Sylvie Thériault, on doit continuer à appuyer l’identité, le sens d’appartenance. Mais comment faire, c’est encore à développer. »

Une culture a-t-elle besoin de protection ? Dans sa chronique du Devoir du 12 janvier, Jean-Benoît Nadeau déboulonne les mythes sur le protectionnisme des États-Unis et de la France, deux acteurs imposants de la culture globale qui affecte les Canadiens.

La mondialisation n’exclut pas le protectionnisme, écrit-il. « Si les Français exportent leur culture, c’est d’abord parce qu’ils se sont ménagés un beau jardin culturel bien clôturé — comme les Américains d’ailleurs. »

Le chroniqueur recommande au fédéral de prévoir « une protection étoffée du marché culturel intérieur, y compris le virtuel. Il ne peut y avoir de promotion internationale de la culture sans susciter une demande nationale ».

Comment soutenir une culture menacée, comme en milieu minoritaire, autant de l’étranger que des industries anglophones et francophones domestiques bien structurées ?

« Pour équilibrer le jeu, il faut donner les moyens aux petites cultures de se tailler une place, propose la doctorante en sociologie de l’Université d’Ottawa, Marie Hélène Eddie. Si le gouvernement canadien vise les hors Québec, normalement, il devrait faire davantage que de simplement mentionner les cultures acadienne et francophones.

« La stratégie devrait comprendre des dispositions spécifiques pour les francophones, soutient-elle, qui prennent en compte leurs défis particuliers. Elle devrait être accompagnée de fonds pour permettre à ces communautés de s’organiser et de lutter à armes égales. »

 

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