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S'exprimer autrement
Cette chronique, en collaboration avec La Cité universitaire francophone,  offre des textes dont les auteurs ont en commun d’avoir choisi le français comme langue seconde.

Galala : un spectaculaire avant-goût de la relève

Deuxième saison du concours de jeunes talents sur la chaîne UNIS

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Les participants de la Saskatchewan pour le Galala de cette année (2e édition) avec l'animatrice Nathalie Nadon (au centre)

Les participants de la Saskatchewan pour le Galala de cette année (2e édition) avec l'animatrice Nathalie Nadon (au centre)

De g. à d. : Liam Campagne (batterie), Marissa Gregory (chant), Andie Downes (danse irlandaise), Emilie Edmondson (chant) (cachée), Sébastien (correspondant local), Aurélie Gerwing (violon classique), Nathalie Nadon (animatrice), Kaelyn Collins (danse irlandaise), Ephemy Sumaili et Baraka Nyelele (karaté) et Farrah Sim (dansejazz).
Photo : Émilie Dessureault-Paquette
Ils sont jeunes, ils ont de grands talents et un avenir prometteur. Il n'y a pas de doute qu'ils impressionneront les spectateurs lors de leur passage à la télévision au printemps prochain. Ce sont en effet 9 jeunes de 5 à 15 ans qui ont participé le dimanche le 14 février dernier à l'enregistrement d'un épisode de la 2e édition de Galala, dans le gymnase de l'école élémentaire de Monseigneur de Laval à Regina.

L'équipe de Galala était en tournée canadienne en janvier et février pour parcourir les 11 villes  où s'enregistrent les 11 épisodes de la série, qui seront diffusés de la mi-avril à la mi-juin sur les ondes de la chaîne UNIS. Un beau projet pour dénicher de petits trésors de talents au sein de la francophonie canadienne, peu importe la discipline; du chant (des interprétations à Regina étaient meilleures que les  versions originales) aux arts martiaux, en passant par de joyeuses prouesses musicales ou des prestations de danse hautes en couleur.

Pour plusieurs participants, c'était une première expérience télévisuelle, mais malgré leur jeune âge, ils ont déjà de l'expérience et confiance en leur talent. « J'ai 15 ans. Ma mère m'a mère m'a mise dans une chorale à 8 ans.  C'est ma prof de chant qui m'a montré la chanson que j'ai interprétée. J'aimais beaucoup la mélodie. L'expérience de Galala était vraiment positive. » a raconté Émilie Edmondson, originaire de St-Denis.

 « C'est ma première fois à Galala, mais j'ai déjà joué à notre ferme, à Farm Fest (NDLR:Festival Terre ferme à Willow Bunch). Je ne sais pas comme ça a été pour les autres, parce que l'on devait attendre ici [en coulisse], mais je suis content de ma performance » nous a dit timidement à son tour Liam Campagne, 10 ans, qui joue de la batterie depuis deux ans.

Galala, c'est aussi la présence d'un mentor, qui fait aussi office de juge lors des prestations en choisissant le numéro gagnant. La productrice de Galala, Danièle Caloz a rappelé l'importance de cette personnalité-vedette pour les jeunes. « Ils sont aussi présents cette année, et on leur laisse un peu plus de place. C’est-à-dire qu’ils donnent plus de conseils aux jeunes. Les commentaires sont toujours positifs. Les candidats peuvent aussi poser des questions. Le rôle du mentor est celui de l’encouragement. Ici, à Regina, c’est Véronique Poulin qui est la personnalité invitée. On choisit des personnes qui croient au français et en la jeunesse. »

Il faudra attendre la mi-avril pour pouvoir suivre le projet à la télévision et, du même coup, découvrir les gagnants.

 

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