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RIF-SK : Une nouvelle équipe en place

Marie Galophe, nouvelle coordonnatrice du RIF-SK

Marie Galophe, nouvelle coordonnatrice du RIF-SK

Photo : Pierre-Émile Claveau (2017)
REGINA - La nouvelle équipe du Réseau en immigration de la Saskatchewan (RIF-SK), coordonnée par Marie Galophe, est prête à se mettre au travail.    

Le RIF s’est officiellement remis en marche le 4 juillet, trois mois plus tard qu’à la normale à cause de multiples tensions  au sein de la table de concertation formée de onze organismes fransaskois. La nouvelle coordonnatrice, Marie Galophe, estime que sa petite équipe peut désormais aller de l’avant et que les dissensions entre les membres sont maintenant derrière eux.  

« J’entreprends mon mandat dans l’écoute, à écouter ce que les membres ont à dire. J’essaie d’observer et de comprendre ce qui a été fait et  aller de l’avant selon le plan opérationnel du RIF. »  

Épaulée par Élise Gagnon qui occupe les fonctions d’adjointe administrative, elle travaillera sous la bannière du Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS). Jusqu’en avril dernier, c’était l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF) qui chapeautait le RIF . Mais le  financement d'Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada a été octroyé cette année au CÉCS qui a reçu une subvention pluriannuelle de 470 000$. ( Voir l’Eau-vive du 27 avril 2017) 

Malgré le changement d’administration, aucun changement majeur dans le mandat n’est à prévoir. La mission première du RIF-SK demeure la coordination de l’offre de services aux nouveaux arrivants de la province. La nouvelle coordonnatrice a indiqué qu’elle suivra le plan opérationnel de trois ans et qu’elle fera des ajustements si nécessaire d’ici huit mois, précisant que les priorités restaient les mêmes que pour les mandats précédents.   

Vers un virage numérique

Marie Galophe souhaite agrandir le Réseau en ajoutant quelques membres pour ainsi mieux se comparer avec les autres réseaux de la province. De plus, elle aimerait que le RIF-SK effectue un virage numérique pour rejoindre une plus grande partie de la population et mieux faire connaître ses services. 

« Je pense que le numérique peut nous offrir l’endroit idéal pour réaliser des projets qui ont été rêvés auparavant comme des portails d’entrées uniques. »  



 

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