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Le 12 mars à Regina, le Palais législatif a été le témoin d'un événement emblématique du printemps : la proclamation des Rendez-vous de la francophonie (RVF).
Le 1er novembre, les Fransaskois appelés aux urnes ont décidé de reconduire Denis Simard au poste de président de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF) pour la troisième fois. Par ce vote, la communauté a opté pour la continuité à la tête de son organisme porte-parole.
Les Fransaskois sont appelés aux urnes le 28 octobre pour le vote par anticipation et le 1er novembre pour le scrutin provincial afin d’élire la présidence de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF). L’occasion pour l’Eau vive de s’entretenir avec les deux candidats : le président sortant Denis Simard et son adversaire Edgard Assoua.
Après deux mandats à la tête de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), Denis Simard affronte Edgard Assoua pour briguer un troisième mandat. La bataille électorale s’annonce serrée avec des électeurs qui auront le choix entre assurer la continuité ou tenter le renouveau pour leur organisme porte-parole.
Le 22 juin, l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF) a tenu son assemblée générale annuelle en présence d’une cinquantaine de membres et sympathisants. À travers son bilan annuel, c’est le pouls de la communauté qui est pris. Retour sur les points saillants de l’organisme porte-parole de la Fransaskoisie.
Le 5 mai, le Partenariat provincial interculturel (PPI) a invité la communauté fransaskoise à une activité d'échange et de réflexion sur les aspirations et les besoins des femmes francophones de la province. Les discussions, appuyées par les résultats d’un sondage, ont mis en exergue la contribution des Fransaskoises à la vie communautaire, tout en dressant la liste des défis à relever.
C’est à Regina le 6 mai que s’est déroulée la 137e rencontre des députés communautaires. À l’ordre du jour de cette journée figuraient appel à candidatures, revue des finances, tour d’horizon post-pandémie des communautés et annonce des élections.
L’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF) a organisé le 4 février un webinaire dans le cadre de son projet En toute fierté ! L’objectif : lutter contre les préjugés et la discrimination visant les membres de la communauté LGBTQ+ en Saskatchewan.
Les Fransaskois se sont retrouvés du 4 au 6 novembre à l’hôtel Hilton Garden Inn de Saskatoon pour célébrer en personne le 33e Rendez-vous fransaskois, après deux ans de célébrations virtuelles. Malgré plusieurs absences dues à la mauvaise température, près de 200 participants se sont déplacés pour assister aux divers ateliers et formations sur la santé mentale, le thème de cette édition.
Le programme En toute fierté ! de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), destiné à promouvoir le bien-être de la communauté francophone 2ELGBTQIA+, a lancé ses activités automnales avec une soirée musicale au Pink Night-Club de Saskatoon le 16 octobre.
La joie de vivre était palpable dans le centre-ville de Regina à l’occasion du Défilé de la fierté organisé le 11 juin. Plusieurs milliers de participants pour le moins éclectiques ont déambulé de la 15e avenue jusqu’au palais législatif, et les francophones étaient de la partie.
Le 28 mai dernier à la Rotonde de la Cité universitaire francophone de Regina, l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF) a proposé à la communauté de donner une deuxième vie à ses objets non utilisés en organisant un événement de tri et troc. Melaina Sutherland, responsable de l’événement et technicienne en développement durable à l’ACF, a répondu à nos questions.
Avec le printemps qui s’installe et l’approche du Mois de la Fierté en juin, les paysages des villes canadiennes s’apprêtent à reprendre des couleurs. Cette année, l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF) dévoile une nouvelle initiative, En toute fierté !, pour favoriser la représentation et le bien-être des francophones de la communauté LGBTQ+.
Contrairement à l’année dernière à pareille date, les Fransaskois ont pu enfin se rassembler pour la traditionnelle levée du drapeau fransaskois, cette fois-ci devant l’hôtel de ville de Regina.
Afin de lutter contre le racisme, la discrimination ou encore le harcèlement au sein de la fransaskoisie, le Partenariat provincial interculturel a lancé une nouvelle formule.
C’est le temps de la rentrée et on a beaucoup parlé des écoles du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF), mais il y a aussi les autres : les écoles d’immersion. Pour faire un point sur ce secteur, nous avons rencontré M. Paul Bazin, conseiller pédagogique pour toutes les écoles d’immersion publiques de Saskatoon.
Depuis une semaine, les écoles ont repris leurs activités. Pour les jeunes Fransaskoises et Fransaskois, c’est maintenant une chose normale que d’aller dans une école fransaskoise. Mais il n’y a pas si longtemps, ce n’était pas la réalité.
Entrevue avec Donald Michaud, le directeur de l’éducation par intérim au Conseil des écoles fransaskoises (CÉF).
Rencontre avec Dolorèse Nolette, directrice générale de l’éducation par intérim au Conseil des écoles fransaskoises (CÉF).
Un consensus semble atteint par tous les interlocuteurs du CÉF qui prennent maintenant un certain recul après avoir exprimé leurs critiques et veulent laisser les personnes en charge le soin de travailler à l’amélioration de son fonctionnement.
On se souvient d’un commentaire de Francis Potié, directeur général de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), à propos des coupures de Patrimoine canadien lors d’une table ronde à l’Institut français. « Tout ne va pas si mal. » Il me semble qu’il pourrait aussi bien s’appliquer à la « crise » qu’est en train de traverser le CÉF.
C’était l’effervescence au Pavillon secondaire des quatre vents (PSQV) de l’école Laval à Regina en cette matinée de rentrée, mardi 2 septembre.
La rentrée scolaire 2014 ne fera sans doute pas exception. Encore une fois, trop d’enfants de parents ayants droit ne seront pas inscrits à une école francophone. Une tendance qui met en péril l’avenir des communautés francophones en situation minoritaire.
Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a dévoilé, le 18 août dernier, les détails de la restructuration de ses services éducatifs. Ces changements ont été apportés afin, selon le CÉF, de «mieux répondre aux nouveaux défis qui découlent des compressions budgétaires annoncées en juin 2014. [L]a réorganisation des services voués aux élèves permettra de favoriser la réussite des élèves et l’accompagnement des intervenants dans les écoles. »
Le juge Barrington Foote de la Cour du Banc de la Reine a ordonné au gouvernement de la Saskatchewan, le 19 août, de payer la somme de 500 000 $ pour renflouer les coffres du Conseil scolaire fransaskois (CSF) pour l’année 2014-2015.
À entendre que le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a finalement fermé la résidence à l’École secondaire Collège Mathieu (ESCM) de Gravelbourg n’était pas une grande surprise pour moi. J’ai été le premier directeur académique de l’ESCM sous les auspices du CÉF.
Après avoir été secouée par des remous internes ces derniers jours avec l’éviction de son président, Colin Keess, pour des motifs encore flous, lors d’un vote de non-confiance, la Fédération des enseig nants de la Saskatchewan (Saskatchewan Teachers’ Federation – STF) et le gouvernement de la Saskatchewan se sont mis d’accord pour faire appel à un conciliateur puisque les négociations qu’ils ont engagées pour la rédaction d’une nouvelle convention collective sont au point mort.
Dans les démarches entourant sa demande d’injonction pour réclamer un montant supplémentaire de 5,2 millions de dollars au gouvernement provincial, le Conseil scolaire fransaskois n’a pas mis toutes les chances de son côté.
Le Conseil scolaire fransaskois (CSF) a, comme prévu, plaidé par la voix de son avocat, Me Roger Lepage, devant la Cour du Banc de la Reine à Regina, lors d’une injonction, pour obtenir la somme de 5,2 millions de dollars du gouvernement provincial les 6 et 7 août derniers.
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- jeudi 18 avril 2024