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De retour en personne après la pandémie, la 27e édition du Parlement jeunesse fransaskois (PJF) s’est déroulée du 9 au 11 décembre au Palais législatif de Regina et a accueilli une quarantaine de participants de partout en province.
C’est avec enthousiasme et fierté que l’Association jeunesse fransaskoise (AJF) a célébré son 50e anniversaire du 21 au 23 octobre. Au fil des décennies, l’organisme continue d’offrir aux jeunes francophones de la province une programmation en français dynamique et diversifiée.
C’est dans le cadre de son projet Expl’Art que l’Association jeunesse fransaskoise (AJF) a organisé une sortie en canoë sur la rivière Saskatchewan les 19, 20 et 21 août. Quatorze jeunes, âgés de 16 à 25 ans, ont vécu le temps d’une longue fin de semaine une expérience extraordinaire entre nature et poésie.
L’auteur-compositeur-interprète Shawn Jobin, qui est aussi agent aux communications, directeur artistique, animateur et programmateur à l’Association jeunesse fransaskoise (AJF), a profité de la tenue du Festival fransaskois 2022 pour faire une annonce qu’il a qualifiée « d’historique ».
Une cinquantaine de jeunes issus des quatre coins du pays se sont retrouvés de façon virtuelle pour la 11e édition du Parlement jeunesse pancanadien.
Un nouveau partenariat fransaskois a réalisé un sondage sur les besoins de la communauté en matière d’activités physiques, sportives et de plein air
Cette année, le Festival fransaskois qui s’est présenté sous un format inédit au travers d’une nouvelle plateforme virtuelle.
Devrait-on rendre le don du sang obligatoire ? Des jeunes francophones de l’Ouest canadien se sont réunis afin de débattre cette proposition controversée.
L’Association jeunesse fransaskoise s’est dotée début mai d’une grande scène portative unique en son genre en Saskatchewan.
Anticipant sa première prestation devant le public lors de la Francofièvre le 12 mai, le trio de rap réginois espère assurer la relève musicale fransaskoise.
Louis Prince, élève de 11e année à l’École canadienne-française de Saskatoon, est un des huit jeunes leaders du Français pour l’avenir.
Le Parlement jeunesse fransaskoise (PJF) a rassemblé les 5 et 6 décembre une vingtaine de jeunes francophones de la province pour une 25e édition en mode virtuel.
REGINA - Le Parlement jeunesse fransaskoise, une initiative de l’Association jeunesse fransaskoise (AJF), a ainsi permis à 33 jeunes de 14 à 25 ans, issus des quatre coins de la province, de goûter à la vie parlementaire le temps d’une fin de semaine.
MANITOU BEACH - Un conseil d’administration renouvelé, des formations d’animateur et une belle ambiance. Ce 15 septembre, les jeunes se sont réunis en nombre à Manitou Beach pour l’assemblée générale annuelle de l’Association jeunesse fransaskoise
Le rendez-vous annuel qu’est devenue la Francofièvre continue de s’améliorer d’année en année et nous sommes plus que jamais à l’écoute de la jeunesse pour maintenir une offre d’opportunités et d’espaces francophones adéquats qui reflètent les jeunes d’expression française de la province.
Depuis une semaine, les écoles ont repris leurs activités. Pour les jeunes Fransaskoises et Fransaskois, c’est maintenant une chose normale que d’aller dans une école fransaskoise. Mais il n’y a pas si longtemps, ce n’était pas la réalité.
Entrevue avec Donald Michaud, le directeur de l’éducation par intérim au Conseil des écoles fransaskoises (CÉF).
Rencontre avec Dolorèse Nolette, directrice générale de l’éducation par intérim au Conseil des écoles fransaskoises (CÉF).
Un consensus semble atteint par tous les interlocuteurs du CÉF qui prennent maintenant un certain recul après avoir exprimé leurs critiques et veulent laisser les personnes en charge le soin de travailler à l’amélioration de son fonctionnement.
On se souvient d’un commentaire de Francis Potié, directeur général de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), à propos des coupures de Patrimoine canadien lors d’une table ronde à l’Institut français. « Tout ne va pas si mal. » Il me semble qu’il pourrait aussi bien s’appliquer à la « crise » qu’est en train de traverser le CÉF.
C’était l’effervescence au Pavillon secondaire des quatre vents (PSQV) de l’école Laval à Regina en cette matinée de rentrée, mardi 2 septembre.
La rentrée scolaire 2014 ne fera sans doute pas exception. Encore une fois, trop d’enfants de parents ayants droit ne seront pas inscrits à une école francophone. Une tendance qui met en péril l’avenir des communautés francophones en situation minoritaire.
Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a dévoilé, le 18 août dernier, les détails de la restructuration de ses services éducatifs. Ces changements ont été apportés afin, selon le CÉF, de «mieux répondre aux nouveaux défis qui découlent des compressions budgétaires annoncées en juin 2014. [L]a réorganisation des services voués aux élèves permettra de favoriser la réussite des élèves et l’accompagnement des intervenants dans les écoles. »
Le juge Barrington Foote de la Cour du Banc de la Reine a ordonné au gouvernement de la Saskatchewan, le 19 août, de payer la somme de 500 000 $ pour renflouer les coffres du Conseil scolaire fransaskois (CSF) pour l’année 2014-2015.
À entendre que le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a finalement fermé la résidence à l’École secondaire Collège Mathieu (ESCM) de Gravelbourg n’était pas une grande surprise pour moi. J’ai été le premier directeur académique de l’ESCM sous les auspices du CÉF.
Après avoir été secouée par des remous internes ces derniers jours avec l’éviction de son président, Colin Keess, pour des motifs encore flous, lors d’un vote de non-confiance, la Fédération des enseig nants de la Saskatchewan (Saskatchewan Teachers’ Federation – STF) et le gouvernement de la Saskatchewan se sont mis d’accord pour faire appel à un conciliateur puisque les négociations qu’ils ont engagées pour la rédaction d’une nouvelle convention collective sont au point mort.
Dans les démarches entourant sa demande d’injonction pour réclamer un montant supplémentaire de 5,2 millions de dollars au gouvernement provincial, le Conseil scolaire fransaskois n’a pas mis toutes les chances de son côté.
Le Conseil scolaire fransaskois (CSF) a, comme prévu, plaidé par la voix de son avocat, Me Roger Lepage, devant la Cour du Banc de la Reine à Regina, lors d’une injonction, pour obtenir la somme de 5,2 millions de dollars du gouvernement provincial les 6 et 7 août derniers.
Mises à pied, démission du directeur, réductions de programmes et coupure du budget de 4,4 millions $. Suivant l’échec de pourparlers, le gouvernement a décrété le 12 juin un audit des finances du Conseil scolaire fransaskois. Le 26 juin, le CSF lançait une nouvelle poursuite
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- jeudi 28 mars 2024