Faut-il (encore) avoir peur de la finance sociale ? Faut-il (encore) avoir peur de la finance sociale ? Famille, Enfants et Développement social 13 mai 2016 24355 Une première annonce de 3,4 millions $ à mi-parcours de la Feuille de route pour les langues officielles vient relancer quatre organismes dont les clientèles n’étaient pas prioritaires pour l’administration conservatrice.
Livre blanc du RDÉE Canada sur le développement économique dans la... Livre blanc du RDÉE Canada sur le développement économique dans la... Lancement d’un ambitieux plan de positionnement 5 mai 2016 20068 Le Réseau de développement économique et employabilité (RDÉE) Canada a rendu public le 21 mars un plan de positionnement qui doit inspirer son orientation au cours des trois à cinq prochaines années pour la francophonie canadienne.
Immigration: retour à l’Avantage significatif francophone Immigration: retour à l’Avantage significatif francophone Les minorités francophones du pays applaudissent l’annonce du gouvernement fédéral qui rétablit des mesures... 7 avril 2016 22196
Un financement stable réclamé pour les médias en milieu minoritaire Un financement stable réclamé pour les médias en milieu minoritaire Les journaux et radios en milieu minoritaire sonnent l’alarme et réclament l'aide du gouvernement fédéral. 24 mars 2016 19059
Budget fédéral 2016: Au-delà de Radio-Canada Budget fédéral 2016: Au-delà de Radio-Canada OTTAWA – Pour son premier budget, le nouveau gouvernement libéral avait promis de stimuler l’économie canadienne avec... 23 mars 2016 16221
Budget fédéral: déficit de 29,4 G $, sans retour à l'équilibre dans... Budget fédéral: déficit de 29,4 G $, sans retour à l'équilibre dans... OTTAWA - Afin de tenir ses nombreuses promesses électorales, le gouvernement de Justin Trudeau signe un premier budget à l'encre... 23 mars 2016 17348
Énergie Est: Brad Wall veut le même traitement que Bombardier à Ottawa Énergie Est: Brad Wall veut le même traitement que Bombardier à Ottawa REGINA - Le premier ministre de la Saskatchewan croit que si Ottawa songe à accorder une aide financière à Bombardier, il... 18 février 2016 15388
La Saskatchewan manque de revenus et devra présenter deux déficits La Saskatchewan manque de revenus et devra présenter deux déficits Le premier ministre de la Saskatchewan, Brad Wall, a déclaré que son gouvernement faisait face à un "sérieux manque de... 3 février 2016 18251
Brad Wall rabroue les maires de la Communauté métropolitaine de Montréal 24 janvier 2016 Brad Wall rabroue les maires de la Communauté métropolitaine de Montréal Par l'intermédiaire des médias sociaux, M. Wall a déclaré: "je suis convaincu que les maires de la région de Montréal vont poliment rembourser leur part des 10 milliards $ de paiements de péréquation auxquels l'Ouest du pays a contribué".
Les immigrants découvrent la recherche d’emploi ‘’à la canadienne’’ 26 novembre 2015 Les immigrants découvrent la recherche d’emploi ‘’à la canadienne’’ SASKATOON - Afin de guider les nouveaux arrivants dans les dédales du processus de recrutement canadien, le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) a organisé un atelier de préparation à la rédaction de CV et aux entretiens d’embauche le vendredi 20 novembre à Saskatoon.
Arthur Béague / 13 novembre 2020 / Catégories: 2020, Agriculture et environnement, Chronique environnement Pas touche aux moutons ! Le lac Last Mountain, au sud de la Saskatchewan, c’est un peu comme Noël pour un enfant pour un ornithologue au mois d’octobre. Un événement attendu depuis des mois. Car de nombreux oiseaux viennent y trouver une halte bien méritée en période de migration. Les yeux dans les jumelles, je balaye l’horizon en quête de l’espèce rare qui embellira ma journée – et qui ne suscitera aucune réaction chez mes proches. Tout à coup, je tombe sur un élevage… de moutons ! Plus habitué à voir des bovins que des ovins, je reste en leur compagnie le temps que la nostalgie des prés salants du Mont Saint-Michel vienne m’enlacer. Un mouton retient mon attention : plus poilu, la langue pendue et avec un collier autour du cou… Mais qu’est-ce qu’un chien fait avec eux ? Protecteur de troupeaux, depuis la nuit des temps Chien de grande taille, fortement charpenté, à poils longs et robe blanche, il est mentionné dans des écrits de Gaston Fébus, prince et poète pyrénéen du 14e siècle. C’est entre la France et l’Espagne que l’histoire a commencé pour ces chiens appelés communément « patous », dérivé du mot « pastre » qui veut dire berger. Leur mission est simple : défendre les troupeaux et les familles de paysans contre les attaques d’animaux sauvages. En 1675, Madame de Maintenon, découvre le chien de montagne des Pyrénées. Sous le charme, elle décide d’en ramener un à Paris qui fera l’unanimité à la cour du Roi Soleil, recevant au passage la noble distinction de « chien royal ». Aujourd’hui, les rois sont en sécurité mais les moutons restent toujours à la merci des prédateurs. L’utilisation des chiens de protection n’est plus à démontrer et la pratique s’est généralisée. Pour autant, l’éducation n’en reste pas moins un art. Pour mener à bien sa mission, il faut que le chien se pense mouton. Dès son plus jeune âge, on place le chiot avec les moutons pour qu’il les considère comme sa famille et vice versa. Dur de ne pas succomber devant ces chiens magnifiques qui ont l’air aussi dociles que des pelotes de laine. Sauf que, si attaque il y a, cet étrange mouton aura les armes et l’instinct naturel de protéger les copains. Protections naturelles Devant l’augmentation de la prédation (principalement du coyote) sur les moutons en Ontario, le ministère de l’Agriculture, de l’Alimentation et des Affaires rurales conseille aux éleveurs d’avoir recours à des gardiens de moutons. En outre, de plus en plus d’éleveurs utilisent des ânes pour garder leurs moutons du fait de leur coût modique, de leurs besoins en entretien minimes et de leur compatibilité avec les autres méthodes de lutte contre les prédateurs. Là où les patous restent aux croquettes, les ânes consomment les mêmes aliments que les moutons. Un avantage pour les éleveurs, qui bénéficient aussi de la longévité de ces gardiens promettant 10 à 15 ans de protection. L’étude Ontario Predator Study a d’ailleurs indiqué qu'environ 70 % des ânes utilisés avaient été évalués comme offrant un excellent ou un bon service de protection du troupeau. La plupart des producteurs d'ovins s'entendent pour dire qu'il n'existe pas une seule méthode de lutte contre la prédation. Qu’importe le gardien, puisse le silence des agneaux perdurer. Imprimer 11276 Arthur BéagueArthur Béague Autres messages par Arthur Béague Contacter l'auteur Comments are only visible to subscribers.