150 ans
Close
Emploi et immigration : Échange de dossiers entre l’ACF et le CÉCS Emploi et immigration : Échange de dossiers entre l’ACF et le CÉCS

Emploi et immigration : Échange de dossiers entre l’ACF et le CÉCS

33473

Depuis le début du mois d’avril, les services d’emplois sont désormais assurés par le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS). Le Réseau en immigration francophone (RIF-SK), dont le CÉCS est l’organisme fiduciaire depuis 2017, est remis à l'Assemblée communautaire fransaskoise. 

La fransaskoisie adopte le télétravail La fransaskoisie adopte le télétravail

La fransaskoisie adopte le télétravail

20918

Entre les projets qui s’annulent et ceux qui doivent continuer, les rapports de fin d’année fiscale et les réunions virtuelles, comment la technologie peut-elle aider la communauté à continuer de fonctionner ?

La Saskatchewan accueille son premier économusée La Saskatchewan accueille son premier économusée

La Saskatchewan accueille son premier économusée

LUMSDEN - Le 17 septembre, le premier économusée de la province a ouvert ses portes à Lumsden sur le site enchanteur des vergers Over the...
21866
La dégénérescence des produits La dégénérescence des produits

La dégénérescence des produits

Avez-vous déjà remarqué que les produits d’aujourd’hui n’ont pas la même qualité ou ne durent pas aussi longtemps que ceux de...
26136
SENA : Une participation francophone modeste SENA : Une participation francophone modeste

SENA : Une participation francophone modeste

REGINA - Le volet francophone a eu peu de participants lors de la Semaine pour l’emploi des nouveaux arrivants (SENA) du 6 au 10 mai à...
34603
Le Francothon fait le plein ! Le Francothon fait le plein !

Le Francothon fait le plein !

REGINA - Cette 23e édition du Francothon a porté ses fruits en surpassant son objectif de 60 000 dollars : au total, plus de 107 000 dollars...
30411
RSS
123578910Dernière
Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

Le CCS sur Facebook

Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
RSS
123578910Dernière

Actualité économique

Jean Johnson : « Ce Sommet 2021, c’était un peu des états généraux »

Image
Crédit: Courtoisie-FCFA/Montage-Francopresse

FRANCOPRESSE – Le Sommet sur le rapprochement des francophonies canadiennes s’est achevé le jeudi 17 juin. Les fruits de nombreuses réflexions se trouvent désormais entre les mains de la Fédération des communautés francophones et acadienne (FCFA) et du Secrétariat du Québec aux relations canadiennes (SQRC), envers lesquels les attentes sont nombreuses dans la francophonie canadienne. Retour sur une semaine riche en débats avec le président de la FCFA, Jean Johnson. 

Francopresse : Quel mot choisiriez-vous pour résumer la semaine du Sommet?

Jean Johnson : Le mot serait « historique ». Les derniers grands rassemblements qu’on a eus réellement, c’était dans les années 1960, lors des fameux États généraux [du Canada français]

[Ce Sommet 2021], c’était un peu des états généraux. Ç’a été vraiment un Sommet qui a mis la table pour deux francophonies qui veulent apprendre à se connaitre et à travailler ensemble, pour bâtir une grande place plus sure partout pour le français au Canada. 

Le Québec dévoilera cet automne le renouvèlement de sa Politique en matière de francophonie canadienne. Quelles sont les attentes de la FCFA?

C’est une politique qui date de très longtemps. Je souhaiterais qu’on tienne compte des résultats qui émanent de ce Sommet.

Je souhaite également qu’on puisse augmenter les investissements, mais les regarder de façon différente ; créer une approche du « par et pour » les communautés dans le développement final de la Politique en matière de francophonie canadienne et [regarder] la façon dont on choisit les investissements. 

Lire l’ensemble des articles sur le Sommet sur le rapprochement des francophonies canadiennes 2021

Une volonté de structurer les instances francophones est ressortie des ateliers du Sommet. Est-ce que c’est aussi quelque chose qui fait partie de vos souhaits envers le gouvernement du Québec? 

Je ne sais pas si c’est quelque chose qui s’inscrit à l’intérieur de la Politique en matière de francophonie canadienne. Je pense que c’est davantage dans la manière dont le gouvernement du Québec et la FCFA souhaiteraient travailler ensemble pour faire la promotion et assurer la pérennité de nos communautés. 

Je vous rappelle que nous sommes convaincus que le Québec a aussi besoin de se renforcer [à ce niveau] parce que les médias sociaux d’aujourd’hui ont une très grande incidence sur l’anglicisation des gens. Que les gens s’anglicisent ne m’inquiète pas ; ce qui m’inquiète, c’est qu’on ne trouve pas la façon de valoriser et de célébrer [notre] langue. 

Maintenant que le Sommet est derrière nous, quel est le rôle de la FCFA dans la mise en place de ce renouvèlement de la Politique en matière de francophonie canadienne du Québec?

La priorité, c’est de compléter l’analyse des données qu’on est allés chercher lors de ce Sommet. 

Ensuite, c’est d’orienter ce contenu-là pour qu’il soit reflété dans les intentions à venir. 

Oui, il y a la Politique en matière de francophonie canadienne, mais il y a aussi […] un désir de créer un momentum de rapprochement. 

Le rapprochement ne se fait pas seulement dans une rencontre de trois, quatre ou cinq jours ; elle se fait par la répétition de nos rencontres.

Justement, l’une des volontés qui sont aussi ressorties au cours de ce Sommet est que ce type d’évènements aient lieu plus fréquemment et qu’ils se pérennisent. Est-ce que c’est aussi sur la table?

Oui, c’est sur ma table. Ce serait mon souhait qu’il y ait un autre sommet en présentiel parce que la COVID-19 nous a joué un mauvais tour.

Ça nous a permis quand même de faire un apprentissage sur les moyens de communication qu’on a utilisés pour se rapprocher. Ç’a très bien fonctionné, mais on est des êtres humains. 

Puis [nous], les francophones, on est influencés par notre langue qui est de descendance latine. On a un sang latin […] donc on a besoin de se voir, de se parler, on a besoin de cette chaleur humaine. 

J’aurais des idées sur la manière de faire ce prochain sommet, mais il faudrait aller chercher d’autres partenaires […] ne pas demander au Québec seul de porter le fardeau. Ce sont des discussions à avoir avec [la ministre québécoise des Relations canadiennes et de la Francophonie canadienne] Sonia LeBel et son équipe. 

Qui seraient ces autres partenaires, par exemple? 

J’aimerais avoir une conversation avec Mme Lebel avant [de se prononcer]. Le Québec et le gouvernement fédéral ont un mécanisme de fonctionnement et moi, je ne veux pas m’immiscer. Alors comment est-ce qu’on joue une balance délicate, toujours dans le respect des deux instances? 

Il y a aussi de grosses entreprises du secteur privé qui auraient intérêt à participer à ces évènements-là. Je vois aussi une plus grande participation du secteur public, peut-être les grandes municipalités.

Faut-il aussi impliquer les grandes institutions financières, les assurances? Je pense aux entreprises nationales, comme Desjardins, qui aurait peut-être un intérêt à vouloir commanditer certains aspects pour s’assurer de trouver des opportunités économiques.

Vu que le Sommet était virtuel cette année, pensez-vous qu’il y a eu des occasions manquées de réseauter entre francophones ou de créer des projets plus facilement? 

Non. Comme tout le monde, j’aurais préféré qu’il soit en présentiel, mais honnêtement, je suis content qu’on l’ait fait virtuellement parce qu’on a appris des choses dans la dernière année. On n’a pas été capable de le faire en présentiel, mais on l’a tenu. Et ça va être une façon de bien préparer le [prochain en] présentiel. 

À noter que les propos ont été édités pour des raisons de longueur et de cohérence.

Imprimer
9002

Inès Lombardo – Francopresse Francopresse

Autres messages par Inès Lombardo – Francopresse 
Contacter l'auteur

Comments are only visible to subscribers.

Contacter l'auteur

x
Conditions d'utilisationDéclaration de confidentialité© Copyright 2024 Journal L'Eau Vive. Tous les droits sont réservés.
Back To Top