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- mardi 21 mars 2023
Cette chronique, en collaboration avec La Cité universitaire francophone, offre des textes dont les auteurs ont en commun d’avoir choisi le français comme langue seconde.
Pour tout immigrant, tirer un trait sur ses habitudes alimentaires est déchirant. Aubergines africaines, gombo, piments, haricots nains… Autant de saveurs qui manquent dans l’assiette des nouveaux arrivants issus d’Afrique. Le développement de fermes tropicales au sein même de la Saskatchewan pourrait changer la donne.
Notre planète Terre a été diagnostiquée depuis un bon bout de temps comme étant en mauvais état. Elle souffre particulièrement d’un surplus de plastique et d’embonpoint résultant d’une surconsommation irréfléchie. Et en Saskatchewan, ça ne va guère mieux.
Qui n’a jamais rêvé de contribuer à l’avancée de la science, tout comme Charles Darwin en son temps, ce naturaliste britannique du 19e siècle dont les découvertes scientifiques sont encore le fondement de la biologie moderne ? C’est possible aujourd’hui.
Les prochaines années resteront dans l’Histoire comme l’époque de la transition énergétique pour notre civilisation. Cette transition, essentielle à notre survie comme espèce, annonce la fin de l’hégémonie pétrolière et l’émergence de nouvelles énergies, et surtout de nouveaux modes de production et de distribution.
FRANCOPRESSE – Au Sud de Saskatoon, le lac Diefenbaker joue depuis plusieurs décennies le rôle de réservoir pour les résidents et les agriculteurs de la région. Le grenier du Canada souffre toutefois des changements climatiques, si bien que les 9 milliards de mètres cubes d’eau du réservoir ne sont plus suffisants pour abreuver les cultures. La province travaille donc depuis 2020 à un projet qui devrait augmenter significativement la surface des terres irrigables en Saskatchewan.
Le 4 avril dernier, le Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (GIEC) publiait le troisième et dernier volet de son sixième rapport d'évaluation, intitulé Changement climatique 2022 : atténuation du changement climatique. On n'en a pas beaucoup parlé. On devrait.
Lors d’un webinaire organisé le 24 mars, le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) a dressé le portrait d’un potentiel énorme en matière de valorisation des déchets et d’économie circulaire dans la province.
La capitale de la Saskatchewan devient la 5e ville du Canada à recevoir le précieux trophée de Ville amie des oiseaux.
Un article scientifique de l’Université de la Saskatchewan s’intéresse aux différents mécanismes conduisant au déclin des populations du caribou des bois dans la province.
Frédéric Dupré: cette pandémie est probablement la pointe de l’iceberg que notre civilisation vient de frapper de plein fouet.
Avec le Winter Bug Count, vous pourrez contribuer vous aussi au recensement des petites bêtes et devenir de véritables entomologistes.
Les Communautés francophones accueillantes (CFA) de Moose Jaw et Gravelbourg ont offert un atelier sur les changements climatiques.
Pour Michel Vézina, même le père Noël et son équipe de lutins, dont le bilan carbone n’est pas très reluisant, ne peuvent plus échapper aux conséquences des changements climatiques.
L’accaparement des terres agricoles par des multinationales et autres fonds d’investissement pourrait devenir un enjeu de sécurité nationale, mettant en péril notre capacité du Canada à assurer notre souveraineté alimentaire.
Cette semaine, la chronique environnement d'Arthur Béague parle d'un mythe, une quête pour certains, et un rêve inaccessible pour d’autres : la chouette lapone.