À force de voir toujours l’herbe plus verte chez le voisin, nous en oublions de regarder ce qui se passe chez nous. Pourtant, nombreux sont ceux qui aimeraient être à notre place. L’Alberta et la Saskatchewan sont les deux provinces où il est le plus facile d’observer le harfang des neiges en période hivernale.
Le mercredi 6 février à Saskatoon, une température de - 42,6°C battait le record pourtant vieux de 112 ans selon Environnement Canada.
Le nombre de cougars est à la hausse dans le parc interprovincial des collines Cyprès. Ce parc et la région environnante abritent possiblement la plus haute densité de cougars en Amérique du Nord.
Leur présence majestueuse, se découpant sur l’horizon des plaines, leur a valu le surnom de sentinelles des Prairies. Symbole visuel de l’Ouest, les élévateurs à grain ont presque disparu du paysage, victimes d’une nouvelle réalité économique.
ESTEVAN - Estevan, au sud-est de la Saskatchewan, et ses 13 000 habitants se trouvent depuis peu sous le feu des projecteurs. La raison ? La municipalité va accueillir la première centrale géothermique du Canada !
Pourquoi les premiers immigrants ont-ils voulu prendre racine dans ce pays qui, pour paraphraser Gilles Vigneault, « ce n’est pas un pays, c’est l’hiver » ? Pour le commun des paysans ou des soldats, c’était un pays plein de possibilités.
L’hiver arrive et arrive avec lui le bal des saleuses. Inlassablement, des hommes et femmes arpentent chaque jour les routes pour faire fondre le verglas et ainsi assurer notre sécurité. Trois heures plus tard sur la même route, tous les grains de sel ont disparu !
Des champs à n’en plus finir, des machines agricoles géantes, des troupeaux de bovins ruminant sous un ciel plat et clair... Les Prairies cultivent le mythe. Mais derrière les images d’Épinal se cachent des agriculteurs qui en bavent.
Il faut garder un sapin de Noël artificiel pendant au moins 20 ans afin d’assurer qu’il ait moins d’impact écologique qu’un sapin naturel annuel.
Le dernier Rapport canadien sur les prix alimentaires à la consommation nous annonce une hausse, entre 1,5 % et 3,5 %, du prix du panier d’épicerie. Mais, une baisse du prix de la viande, et plus particulièrement pour le bœuf, pourrait devenir une tendance.