Non ! De la même manière que nous ne sommes pas tous un peu diabétiques ou bien que nous ne sommes pas tous un peu asthmatiques, nous n’avons pas tous un peu le TDAH.

Joël Chabot ne se laisse pas abattre. Le voyage à moto qu’il a entrepris cet été est une tentative de rédemption après un grave accident survenu l’an dernier.

Que l’on soit grand ou petit, jeune ou vieux, à ses premiers pas à l’école ou finissant…il existe une ligne au-delà de laquelle l’inconnu l’emporte : la ligne d’horizon.

Alors que l’été est à nos portes, je vous propose un nouveau florilège de mots savoureux tournant autour du monde des bateaux. À vos voiles !

La diversité culturelle francophone était à l’honneur ce 27 juin au Bistro de l’Association communautaire fransaskoise de Regina (ACFR).

Le 5 juillet, Batoche, lieu historique national situé à une heure au nord de Saskatoon, a accueilli une soixantaine de participants.

L’artiste Raeann Kit-Yee Cheung présente son exposition Nous sommes des immigrants à la Maison du lieutenant-gouverneur de la Saskatchewan jusqu’au 25 septembre.

Dans une récente étude, une équipe de recherche en cancérologie de l’Université de la Saskatchewan dévoile une nouvelle piste de traitement contre le cancer.

En Saskatchewan, les immigrants originaires du Moyen-Orient portent encore en eux le poids des conflits passés et présents.

Douze ans d’attente. Trois déménagements. Des locaux vétustes dans un quartier jugé peu sécuritaire. C’est le quotidien de la communauté fransaskoise de Prince Albert...

Le 20 juin, plus de 250 personnes se sont réunies à l’École canadienne-française afin de célébrer la fête de la Saint-Jean et la Journée des peuples autochtones.

Détecter les troubles du langage chez les enfants bilingues, notamment les francophones en contexte minoritaire, reste un défi.

Remplacer le curling par le basketball, financer des ateliers de danse africaine; la francophonie tente de s’ouvrir à la diversité qui grandit dans ses écoles.

Les Autochtones misent sur le solaire, l’éolien et la biomasse pour assurer leur développement économique et leur souveraineté énergétique.

Le droit d’être supervisé dans la langue de son choix, pour les fonctionnaires dans une région désignée bilingue du Canada, est désormais officiel.